Selon Assabah, « les responsables de l’hôpital ont mis les membres de deux familles dans un état psychique insoutenable. Une confusion qui, selon eux, s’explique par la négligence des services de cet hôpital et le chaos qui y règne ». Les dépouilles sont celles de deux personnes originaires d’Ahfir et de Zegzel, dans la province de Berkane, décédées après leur admission à l’hôpital. Elles ont été déposées à la morgue, le temps que les familles remplissent les formalités administratives.
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Après quoi, l’une des deux familles a récupéré le corps du défunt et l’a enterré au cimetière de Ouaoulout. C’est au moment du retrait du corps par la famille du deuxième défunt que l’erreur a été constatée, détaille le quotidien. Finalement, la famille du premier défunt a dû procéder à l’exhumation du corps, 24 heures à peine après son inhumation. L’opération s’est déroulée en présence des autorités locales et des membres de la Protection civile et de la Gendarmerie royale. Le corps a été ensuite restitué à la famille du second défunt.
