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Plusieurs pétitionnaires internationaux ont confirmé, lors d'une réunion de la Quatrième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies tenue jeudi à New York, que le plan d'autonomie présenté par le Maroc en 2007 constitue le « seul et unique » cadre pour parvenir à un règlement définitif du conflit. différend sur le Sahara marocain.
Dans son intervention, l'expert politique français Christophe Boutin a souligné que l'initiative marocaine d'autonomie est « la seule voie appropriée » pour mettre fin à ce conflit régional, rappelant la position de la France en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Il a souligné que l'approche française est conforme au droit international et respecte les principes de souveraineté nationale et d'intégrité territoriale, tels que stipulés dans la Charte des Nations Unies. Boutin a ajouté que le soutien de la France à ce plan est conforme à la décision américaine rendue le 10 décembre 2020, qui consacre la souveraineté du Maroc sur son Sahara, notant que la France, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU et membre du G7, a franchi une « étape historique » avec ce soutien.
Le Bhoutan a insisté sur la nécessité pour d'autres pays européens de suivre cette position en soutenant l'initiative d'autonomie, qui reçoit un soutien international croissant, considérant que la souveraineté marocaine sur le Sahara représente le présent et l'avenir de la région.
D'autre part, le Bhoutan a appelé l'Algérie, en tant que principale partie à ce conflit, à engager des négociations dans le but de mettre fin à ce conflit et d'œuvrer à la construction d'un Maghreb arabe unifié.
De son côté, l'avocat français Hubert Siyan a souligné que le plan d'autonomie bénéficie du soutien d'une « large majorité » de pays, dont la France, et est considéré comme « la seule et unique base » pour résoudre la question du Sahara. Siyan a souligné que la réalité renforce cette position, citant la présence de 32 consulats généraux dans les villes de Laâyoune et Dakhla, qui reflète le dynamisme international en faveur du Maroc.
Dans le même contexte, l'experte américaine Caitlin Reeb, responsable de l'organisation non gouvernementale Mundo Internazionale, a confirmé que les Etats-Unis soutiennent pleinement la souveraineté du Maroc sur son désert, notant que le plan d'autonomie constitue « la seule base » pour une solution juste et durable. à ce conflit régional. Reeb a expliqué que cette initiative permet aux habitants des régions du sud de gérer leurs affaires de manière démocratique à travers des organes législatifs, exécutifs et judiciaires dotés de pouvoirs exclusifs.
Le professeur éthiopien Sarkalem Kassa a également souligné que le plan d'autonomie constitue « la meilleure option possible », car il offre des perspectives prometteuses pour parvenir à la stabilité et à la prospérité dans la région.
À leur tour, l'avocate espagnole Maria Guillén et Rafael Esparza Machin, président de l'Association de coopération canarienne-marocaine, ont souligné le sérieux et la crédibilité du projet marocain, notant que cette initiative était le résultat de consultations approfondies avec toutes les parties concernées et les forces vives de la société. .
Dans le même contexte, l'historien autrichien et député Herald Torch a souligné que le plan d'autonomie représente une « opportunité pour la paix » et « la voie la plus réaliste » pour parvenir à la prospérité au Maghreb et au Sahel.