Le gouvernement marocain a touché l’autoroute pour résoudre le problème des Marocains arrêtés et condamnés avec des périodes emprisonnées en Irak, qui est le dossier complexe qui a occupé l’attention des organisations nationales des droits de l’homme et de l’opinion publique nationale pendant longtemps. Et cela vient à un groupe de citoyens marocains dont le nombre est difficile à estimer en Irak après que les décisions judiciaires ont été rendues contre eux par des tribunaux irakiens sur de lourdes accusations liées au terrorisme et appartenant à des groupes terroristes armés, et ce sont les Marocains qui avaient rejoint l’ISIS dans le Levant, en particulier en Irak. Les divers efforts déployés dans le passé n’ont pas réussi à résoudre ce problème à cause de la seule et de la majorité, qui est l’absence d’un accord judiciaire entre le Maroc et l’Irak qui permet la création d’une solution bilatérale légale à ce problème.
C’est ce qui a été réalisé il y a quelques jours, alors que le ministre marocain de la justice, M. Abdel Latif Wehbe, a tenu une réunion de travail avec son homologue irakien, M. Khaled Showani, au siège du ministère de la Justice à Rabat, où les pourparlers ont abouti à la signature des deux ministres pour deux accords. Le premier accord concerne le transfert des condamnés avec des sanctions négatives pour la liberté, qui est l’accord qui permet au gouvernement marocain de transférer les détenus dans les prisons irakiennes au Maroc, et ainsi mettre fin à la question de ces personnes et de plier cette page et de mettre fin à la partie humanitaire qui en résulte, en particulier les répercussions de leurs conditions dans les familles des détenus et de leurs enfants. Alors que le deuxième document concerne la coopération dans le domaine des sanctions alternatives, qui est devenue le Maroc pour de nombreux pays du monde, un modèle qui suit dans son domaine.
Un communiqué publié par le ministère marocain de la justice a déclaré que ces accords visaient à améliorer l’action commune et l’échange fructueux entre les deux pays dans le domaine de la justice.