La liste des abonnés dans ce dossier révèle une présence remarquable de noms importants dans la scène administrative et politique de la région de Marrakech Safi, des responsables de la saleté, élus et des employés supérieurs, qui font face à des accusations liées à une mauvaise gestion des biens de l’État et à la déchet de l’argent public.
Le règlement est surmonté d’Abdel -Fattah Labioui, l’ancien gouverneur de l’autorité, qui a été renvoyé au Conseil suprême de l’autorité judiciaire, compte tenu de son statut juridique. La liste comprend également Mohamed Al -arabi Belkaid, ancien président du Conseil collectif de Marrakech, et Moulay Ismail Al-Maghari, le maire adjoint actuel et ancien président de la province de Sidi Youssef bin Ali, aux côtés de Younis Benslimane, vice-président de la région et membre de la Chambre des représentants du National Rally du parti indépendant.
In the file, Abdulaziz Al -Banin, a former parliamentarian and member of the Council of the Region and the Collective Council, and Moulay Ardis Al -Omari Al -Alawi, former regional director of the warehouse properties, and Abdel Rahim Boulala, the current regional director of the warehouse properties, in addition to Ibrahim Khair al -Din, the former regional director of the Regional Investment Centre, Khaled Wayy, l’ancien directeur de l’agence urbaine, et Rashid à Hana, qui occupait auparavant le poste de département de la construction dans l’État de la région, ainsi qu’Abdul Hamid était lié à Dieu, la marche des entreprises liées au parlementaire Younis Benslimane.
Les accusations contre les adeptes sont distribuées entre:
- Variété de fonds publics placés sous les mains d’un employé public conformément à son travail,
- Contribuer à falsifier et à utiliser les éditeurs officiels,
- Recevoir un intérêt de manière illégale,
- Participer au blanchiment d’argent.
Un problème conjoint qui ramène les questions de transparence et de responsabilité à l’avant-garde
Ce dossier reçoit une grande attention de l’opinion publique, compte tenu de la nature des personnalités impliquées, et l’affaire est liée à la gestion de l’immobilier public et aux déséquilibres qui ont affecté les grands projets de nature sociale et développement. Bien que certains biens immobiliers soient destinés à des programmes stratégiques, ils se sont transformés en transactions suspectes qui génèrent des millions d’acteurs, en total l’absentéisme du principe de l’égalité des chances et de l’intérêt public.
On s’attend à ce que la session d’aujourd’hui soit une station décisive au cours de ce procès, au milieu des demandes généralisées des droits de l’homme pour remédier à la considération de l’argent public et établir les principes de comptabilité et non d’impunité. Les milieux juridiques et juridiques attendent également si la justice réussira à restaurer la confiance des citoyens dans les institutions, à la lumière de l’étendue de l’étendue des violations qui ont affecté les biens de l’État.