La décision de la municipalité de Jumilla d’empêcher la tenue de célébrations religieuses islamiques dans les installations publiques, telles que les salles multi-utilisations et les centres civils, a été dépensée, y compris des occasions telles que Eid Al -Fitr et Eid Al -Adha.
Cette décision est la première du genre en Espagne au niveau local, et a été transmise à l’initiative du parti du peuple conservateur (PP) et avec l’approbation implicite du « Fox » du parti à droite extrémiste à droite, qui s’est abstenu de voter mais a soutenu intellectuellement la décision.
La décision exige que les installations publiques soient dédiées aux activités organisées uniquement par le Conseil local, qui est considérée par des organismes de droits de l’homme ciblant directement la communauté musulmane de la ville, qui représente environ 7,5% de sa population (environ 1500 musulmans sur 27 mille personnes).
De nombreux membres de la communauté comptent sur ces installations pour organiser des événements religieux et sociaux importants pour préserver les liens sociaux et religieux, donc la décision a suscité une grande condamnation au sein de la communauté.
La décision a été confrontée à des critiques généralisées aux niveaux local et national, car il a été considéré par les organisations des droits de l’homme et violé l’article 16.1 de la Constitution espagnole qui garantit la liberté de croyance et la pratique religieuse à moins qu’elle ne contredit l’ordre public.
Quant au Parti socialiste des travailleurs, il a été décrit comme « honteux et rejeté » et une attaque directe contre les musulmans de la ville comme des droits complets, et les partis de gauche et les dirigeants locaux ont dénoncé la question comme une étape qui améliore la division sociale.
À son tour, le parti du « Fox » à droite a décrit la décision comme une réalisation politique et a considéré que les célébrations islamiques étaient des « coutumes étrangères » sur l’identité nationale espagnole, soulignant que l’Espagne « restera une terre pour le peuple chrétien ». D’un autre côté, les dirigeants de la communauté musulmane et des organisations islamiques ont condamné la décision et considéraient comme l’expression d’une distinction hostile à l’islam et une tentative systématique de marginaliser les musulmans de la ville.