Tout est parti d’une plainte déposée par un avocat au nom de sa cliente française. Dans la plainte, l’homme de droit affirme que le terrain situé à Tanja Balia a été utilisé comme cimetière collectif pendant plusieurs années sans régularisation légale. Information confirmée par la wilaya de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma, dans une correspondance qu’il a adressée au président de la commune de Tanger, et dont Ashkayn détient une copie.
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Le terrain est toujours enregistré au nom de la partie plaignante, ce qui nécessite une action immédiate pour régler l’affaire par le biais des procédures d’expropriation, a indiqué le Wali dans sa correspondance. Il demande alors d’inscrire la question de l’expropriation à l’ordre du jour de la session ordinaire de la commune de Tanger prévue pour octobre 2024 afin de régulariser la situation légale du terrain et de compléter les procédures relatives à son utilité publique en tant que cimetière.
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Tanger est coutumière des faits. Pour preuve, une grande partie des dettes accumulées par la commune de Tanger à travers des jugements judiciaires a été causée par des atteintes à des biens privés sans suivre les procédures légales, fait savoir le même site.