L’entreprise indienne a su se démarquer lors de l’appel d’offres lancé dans le cadre de cette ligne à grande vitesse qui devrait être prête d’ici 2029, soit un an avant l’organisation par le Maroc de la Coupe du monde 2030 aux côtés du Portugal et de l’Espagne.
A lire : Un TGV entre Casablanca et Madrid avant 2030 ?
Le projet de TGV Kénitra-Marrakech, élément clé du vaste plan de modernisation ferroviaire de l’ONCF, vise à transformer les liaisons entre ces deux villes majeures. Avec une vitesse de pointe prévue à 350 km/h, cette ligne à grande vitesse s’inscrit dans un réseau national interconnectant villes, ports et aéroports, pour un investissement estimé à plus de 50 milliards de dirhams.
Il y a quelques semaines, l’ONCF a confié à six entreprises les travaux de déblaiement et de préparation du tracé de la LGV Kénitra-Marrakech, pour un coût d’environ 146 millions de dirhams, avec une durée d’exécution fixée à 14 mois. Les travaux sont repartis en cinq lots.