The royal gendarmerie interests in the city of Dakhla, on Monday evening, June 30, 2025, opened a judicial investigation under the supervision of the competent public prosecutor, in order to determine the circumstances of a serious case suspected of a member of its auxiliary forces, related to sexual harassment and material extortion of a migratory descending from a sub -Saharan African country, inside the migrant reception center in the Groupe Arboub.
L’ouverture de cette enquête est intervenue après que les autorités ont déposé une plainte directe auprès de l’immigrant touché, qu’ils ont soumis à l’administration du Centre, accusant l’élément des forces auxiliaires de les extraire financièrement et de les harceler sexuellement, accompagnés d’une vidéo qui dit qu’il documente les actions qui lui sont attribuées. Les intérêts de gendarmerie ont rapidement interagi avec le contenu de la plainte, car l’identité du suspect a été identifiée et arrêtée immédiatement, avant de la mettre sous la mesure de la garde théorique par ordre de la poursuite, en attendant l’approfondissement de la recherche et l’écoute de toutes les parties concernées.
En parallèle, l’inspection générale des forces auxiliaires – la partie sud – a rendu la décision d’arrêter temporairement la personne concernée pour le travail, en attendant le résultat de la recherche judiciaire actuelle, en préparation de la prise de mesures disciplinaires stipulées dans le système interne de l’agence, en cas d’accusation contre l’informatique.
Cette question est revenue au premier plan un certain nombre de questions sur les circonstances de la gestion des abris immigrés et la disponibilité de mécanismes efficaces pour protéger les groupes fragiles dans ces espaces fermés, en particulier en ce qui concerne la relation des migrants avec les forces de l’ordre et la supervision de la sécurité en leur sein.
L’incident a également souligné les défis liés à la garantie du respect des droits de l’homme et de la dignité des individus, en particulier dans les environnements qui déséqument dans les centres de force, ce qui appelle à renforcer les mécanismes de suivi, de suivi et de formation au sein des institutions de sécurité et sociales, assurant la protection des immigrants contre des abus ou des pratiques honteux.