Le ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement primaire et des sports a appelé divers établissements d’enseignement à faciliter le retour des étudiants licenciés qui sont coupés de l’étude, dans le cadre du téléchargement du contenu de la feuille de route pour la réforme de l’éducation, dans un mouvement visant à lutter contre les déchets scolaires et à améliorer la qualité de l’éducation publique.
Le ministère a orienté la correspondance aux réalisateurs régionaux, à travers lesquels les établissements d’enseignement secondaires exhortent à simplifier les décisions de rééducation de ce groupe d’étudiants, en tenant les conseils des départements à examiner les demandes de ceux qui souhaitent retourner aux sièges de l’étude.
Le ministère a souligné la nécessité de démarrer ces conseils à partir de la deuxième semaine de septembre 2025, avec la possibilité de re-contraire plus tard au besoin, à condition que des critères précis soient respectés pour répondre aux demandes.
Parmi les critères fondamentaux que le ministère a soulignés est le respect de la santé et des conditions sociales des étudiants et de l’acceptation du retour automatique de ceux qui n’ont pas dépassé l’âge de 16 ans. Il a également exhorté le comportement à ne pas être considéré comme un critère pour rejeter la demande, à moins que les rapports documentés dans le dossier scolaire ne soient justifiés.
La correspondance a indiqué la possibilité d’étudier les demandes des étudiants qui avaient précédemment soumis des demandes de rééducation au cours des saisons précédentes.
Pour organiser le processus, le ministère a établi un plafond pour l’âge maximum pour le rééducation de nouveau selon les niveaux d’étude, car il a fixé 17 ans pour la première année de préparatoire, 18 ans pour la deuxième préparatoire, 19 ans pour le troisième préparatoire, 20 ans pour la deuxième année, 21 ans pour la première année du Baccalaureate, et 22 ans pour la deuxième année du baccalauré.
Le ministère a ouvert la porte aux conseils des départements afin de donner « une autre opportunité » dans des cas exceptionnels, permettant l’acceptation des étudiants qui ont dépassé l’âge spécifié, surtout s’il y a des justifications sociales ou de santé qui nécessitent cela.