Avant-hier, mercredi, la chaîne française « RMC » a mis fin à son contrat avec l'analyste politique algérien dénommé Mehdi Ghazar, sur fond de propos racistes et calomnieux dangereux de ce dernier à l'encontre des Marocains sur les ondes de la Chaîne Algérie Internationale, propriété de l’État algérien, et a annoncé dans un communiqué désavouer les propos du journaliste algérien, qui ne respectent pas les valeurs des programmes de la chaîne française.
Le « journaliste » algérien qui contribue à l'activation de l'émission « Les Grandes Gueules » diffusée par la chaîne française « RMC », avait participé à un talk-show diffusé par la chaîne algérienne ALG24, et continuait de s'inscrire dans la tendance agressive. du programme contre le Maroc et les Marocains, en lançant de graves accusations racistes à son encontre. Le droit du peuple marocain a atteint le point de remettre en question ses croyances religieuses et de diminuer sa moralité, ce qui a provoqué une réaction massive de colère parmi les membres de la communauté marocaine résidant au Maroc. La France, qui a menacé de lancer une campagne sur les réseaux sociaux pour boycotter la chaîne française qui héberge l'analyste algérien insoumis.
Il est à noter que la chaîne Algérie Internationale, détenue et financée par le régime algérien, a une longue histoire de tromperie, de mensonge et de préjugés, en violation flagrante de l'éthique de la profession journalistique. C’est la même chaîne qui a faussement affirmé en novembre 2022, à l’occasion de l’accueil par l’Algérie du Sommet arabe, qu’elle avait le statut de partenaire médiatique de la Ligue arabe. A ce titre, la chaîne algérienne suspecte a fait circuler dans la salle de la séance d'ouverture du sommet, et devant les délégations arabes, une fausse carte de la Ligue arabe dans laquelle elle a délibérément porté atteinte à la souveraineté territoriale du Royaume, ce qui est a incité la délégation marocaine à protester et le Secrétariat général de la Ligue arabe à désavouer les agissements de la plateforme médiatique algérienne et à publier un communiqué confirmant et niant ses relations avec tout média se réclamant du statut de partenaire médiatique.
La direction de la chaîne, après que l'affaire ait été révélée, a présenté des excuses officielles et il est devenu évident que la carte amputée était un plan prémédité des renseignements du régime algérien, par lequel ils ont tenté d'apaiser les dirigeants de la République de Khiam à Tindouf, qui ont été privés de la possibilité d'assister aux activités du Forum arabe.
Le sale coup de la chaîne, qui révèle le comble de l'absurdité et de la haine dans les médias algériens, a coïncidé avec le fait que les autorités algériennes ont empêché la délégation de journalistes marocains de franchir la porte de l'aéroport d'Alger pour couvrir les activités du sommet, afin que leurs caméras et leurs stylos puissent ne pas être témoin des épisodes de misère officielle algérienne lors du sommet de la « Réunion arabe », quel dommage.
Pour rappel, deux semaines après l'incident du sommet, le gouvernement algérien s'était empressé de limoger le directeur de la télévision algérienne, un jour après qu'une des chaînes publiques sous son commandement ait osé défier les instructions de black-out et diffusé des graphiques et un court commentaire audio de pas plus de cinq secondes annonçant le résultat de la victoire de l'équipe marocaine face à son homologue portugaise et sa qualification pour les demi-finales de la Coupe du monde au Qatar…