Le tribunal de première instance de Taounate a reporté le procès d’une semaine. Il sera ensuite poursuivi pour ce délit, conformément au Code pénal, qui prévoit des peines pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison en cas d’offense commise par un moyen public.
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Réputé pour sa bonne conduite et ses relations avec les patients, le médecin souffrirait de troubles psychologiques intermittents. Sa famille compte présenter un dossier médical au tribunal, espérant obtenir sa libération provisoire sous caution.