Le magazine espagnol, Parada Fizawal, a déclaré dimanche, que le Maroc tient sa position de centre stratégique idéal pour la récupération après les catastrophes pour les contrats européens, grâce à sa localisation géographique distinguée, sa compétitivité et sa infrastructure numérique avancée.
Le royaume constitue, selon le magazine, une alternative fiable aux contrats espagnols et français pour assurer la continuité de ses activités face à des risques liés aux cyberattaques et aux catastrophes naturelles et à l’instabilité géopolitique, mettant en évidence dans ce contexte la stratégie gouvernementale « Digital Maroc 2030 », qui a permis au royaume de se lever au rang du premier centre de données dans le continent africain.
La même source a souligné que cette stratégie, qui représente une vraie feuille de route qui incarne la volonté du Maroc dans la construction d’un système numérique solide et durable, a également contribué à renforcer l’offre du Royaume dans le domaine de l’hébergement des services et d’assurer la continuité des activités.
Le magazine Iber a souligné dans son analyse l’avantage concurrentiel du Maroc en termes de coût, permettant aux contrats européens de développer des plans efficaces pour récupérer après les catastrophes au plus bas, sans préjudice à la qualité des services, grâce à sa disponibilité sur un réservoir de compétences spécialisés dans les technologies de l’information et la cybersécurité.
Les médias espagnols ont ajouté que la stabilité politique dont jouit le royaume, en plus de son cadre juridique qui correspond aux normes internationales dans le domaine de la protection des données, améliore l’attractivité du pays en tant que destination préférée pour héberger les centres de récupération après les catastrophes, soulignant que le Maroc, grâce à son rôle central au sein du réseau de câbles marins liant l’Europe, l’Afrique et l’Amérique, établit sa position comme un réel pont numérique entre les continents.
Il y a un an, à l’occasion de son lancement officiel, le Premier ministre, Aziz Akhenouch, a souligné que l’activation de la stratégie « Digital Maroc 2030 » est l’un des éléments de base de la feuille de route du gouvernement afin de faire avancer l’opération.
M. Akhenoush, j’explique dans une vidéo qui a été diffusée, cette numérisation fournit un réservoir important pour créer des opportunités d’emploi, en particulier pour la catégorie des jeunes, qu’ils soient de la catégorie de diplômes plus élevés ou de la catégorie de jeunes qui provient de l’éducation, du travail ou de la formation.
After praising the concerted efforts of the various national actors, in order to develop this road map, the Prime Minister highlighted that this strategy was the focus of extensive consultations, as the government worked to involve the main actors in the field of digitization, to study its contents, whether they were from public departments, professional federations or training institutions, or from the private sector and civil society, highlighting that, in particular, two meetings of the National Committee for Digital Development, Digital Development, were held, This Activé d’atteindre une formule commune pour les directions générales de la stratégie « Digital Maghreb 2030 ».
Le Premier ministre a souligné que grâce à cette stratégie, qui a reçu 11 milliards de dirhams entre 2024 et 2026, le gouvernement vise à former 100 000 jeunes chaque année dans le domaine numérique (au lieu de 14 000 ans en 2022) et met le but d’exploiter 240 000 dans le secteur numérique national.
La stratégie comprend l’amélioration des indicateurs de services, le développement de l’exportation numérique et d’Internet, améliorant la souveraineté numérique et l’attachement à l’intelligence artificielle. Il s’agit également de ses tâches pour améliorer la classification du Maroc dans les indicateurs de services publics, dans l’espoir de laisser le centre actuel à 50 à 50 dans le monde à l’horizon de 2030 tout en travaillant sur la numérisation des services publics et en les simplifiant pour augmenter le pourcentage d’utilisateurs à plus de 80%, en réduisant les délais de ses procédures administratives par 40%.
La stratégie « Digital Maghreb 2030 » promet également d’augmenter les revenus de l’exportation numérique (automatique), qui est l’utilisation des compétences des troisième ou des entités locales. La stratégie a l’intention d’augmenter ces bénéfices de 18 milliards de dirhams en 2023 à 40 milliards d’ici 2030, en développant l’infrastructure appropriée et des talents adéquats et de qualité, tout en fournissant des stimuli fiscaux aux entreprises opérant dans ce domaine.
La stratégie numérique du Maroc enquête également sur le développement de solutions numériques marocaines à 100% au lieu d’importer, en doublant le nombre de startups marocaines dans l’espoir d’atteindre deux startups dont le capital dépasse un milliard de dollars.