Drapeau électronique – Muhammad al -Habib Huwaidi
La réunion qui a réuni le ministre des minéraux et de l’industrie, M. Tiam Al -tijani, avec une délégation américaine senior de l’ambassade et de l’American Finance Corporation, reflète l’intérêt croissant de Washington pour les opportunités prometteuses offertes par les minéraux et le secteur de l’industrie à Mauritanie. La réunion a été l’occasion de revoir les perspectives de coopération bilatérale dans les domaines de l’extraction et de la fabrication, dans le cadre d’une entreprise mauritanienne pour attirer des investissements de qualité et moderniser sa stratégie de métal.
La délégation américaine était dirigée par les Affaires du Chargé de l’ambassade, M. John T. Ace, et le chef du département politique et économique comprenaient Hillary Williams, et le spécialiste économique et commercial Tariq Bahaa, ainsi que William Begus et Ann-Charlot Fort, en tant que représentants de l’American Finance Corporation. Ils ont été reçus aux côtés du ministre, secrétaire général du ministère, Ahmed Salem Ould Bouhdah, et le directeur général des minéraux et de la géologie, Mohamed Yahya Ahmed Zarrouk, et qui est accusé d’une mission à la cour du ministre, Mme Habiba Bint Bakkar.
Les discussions ont traité des moyens de bénéficier d’expériences américaines dans le domaine de l’exploration et des technologies modernes, et d’améliorer les capacités de la Mauritanie d’exploiter ses ressources naturelles de manière durable, en particulier à la lumière de la demande mondiale croissante de minéraux stratégiques associés à la transition énergétique et numérique.
Cette dynamique coïncide avec une orientation américaine vers un examen de sa propagation diplomatique sur le continent africain, où les rapports des médias ont révélé un projet de décret qui propose de réduire le nombre d’ambassades et de consulats en Afrique subsaharienne, après une décision précédente de fermer une partie de l’agence américaine pour le développement international au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Malgré ces développements, la visite confirme que le partenariat économique est toujours une priorité pour les deux parties, et que la coopération dans les domaines techniques et économiques constitue un levier pour le rapprochement sur un horizon plus stable et équilibré, reflétant les intérêts communs et une vision ouverte sur les transformations mondiales.