Dans sa dernière présentation au centre culturel du projet Belkasiri le vendredi 16 mai 2025, le film « Memories » par le jeune réalisateur Sharif al -wayt a déclenché une controverse généralisée, en particulier en raison de ses scènes intimes qui ont été montrées devant un jeune public, qui a ouvert la porte à la discussion sur la ligne entre la liberté d'expression artistique et la responsabilité morale envers les jeunes groupes d'âge.
Le film se caractérise par son style narratif qui se chevauche, car il utilise la technique des notes personnelles pour détecter les transformations psychologiques et émotionnelles que le personnage principal traverse. Muhammad Sharif al -Tarbak n'offre pas une entreprise facile à digérer, mais qui va plutôt dans les profondeurs du moi humain, et les revues dans un style poétique d'identité, de mémoire et d'amour. Le tournage est devenu sensible et précis, reflétant l'état intérieur du héros, tandis que la réalisation reposait sur l'intensification des sentiments au lieu des événements, ce qui a donné au film un profond contemplatif et auto-caractéristique.
Le plus important du débat est la présence de scènes intimes qui ont été montrées sans préavis, malgré le fait que le public est pour la plupart jeune. Bien que ces scènes n'étaient pas vulgaires ou exploitées, mais plutôt de façon spectaculaire pour clarifier les aspects du développement de la relation entre les personnages, le moment de leur présentation et le contexte des fans dirigés vers le film ont provoqué de nombreuses réserves. Ici, la même question se pose: l'art doit-il soumettre les normes éducatives lors de la réalisation d'un groupe d'âge spécifique, ou l'art doit-il être montré comme il est sans contrôle de soi?
La valeur esthétique et humaine du film ne peut pas être refusée, mais elle met en évidence la responsabilité du réalisateur et des organisateurs lors de l'affichage de travaux qui incluent un contenu sensible devant un public adulte. Dans ce contexte, il valait mieux mentionner le contenu du film à l'avance ou allouer l'affichage à un groupe d'âge mature.
« Memories » est une œuvre audacieuse et un art cohérent, qui exprime un talent distingué dans la mise en scène et l'écriture, mais la controverse qui accompagnait sa présentation ouvre une discussion nécessaire sur l'éthique de la présentation générale, et l'identification des groupes ciblés, en particulier dans les espaces culturels qui cherchent à sensibiliser ne pas exciter. Entre la liberté artistique et les nécessités de l'appréciation de l'âge, l'équilibre reste le plus grand défi.
Muhammad al -Sharif al -Tarriq, un jeune réalisateur appartenant à la nouvelle génération de fabricants de cinéma indépendants, est connu comme son style visuel sensoriel et sa tendance à résoudre les problèmes psychologiques et émotionnels avec une profondeur humaine.
Le film « Memories » est son troisième long métrage, et il a attiré l'attention de plusieurs festivals de jeunes, pour sa sincère alimentation de la question de l'identité, des relations et de la formation personnelle dans la transition de l'adolescence à la maturité.