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Un cri de l’intérieur de l’hôpital régional de Dakhla

Un cri de l’intérieur de l’hôpital régional de Dakhla

Nom de domaine

Drapeau électronique – Muhammad al -Habib Huwaidi

Lors d’une visite sur le terrain de l’hôpital régional de Hassan II de la ville de Dakhla, une affaire humanitaire impressionnante est venue dans la famille d’un jeune homme nommé Saeed Boufi, qui a eu un bébé qui souffre de complications de santé graves causées par ses virus immédiatement après la naissance.

La science a surveillé les moments difficiles que le père du nouveau-né vivait, comme il était dans un état d’effondrement psychologique, qui a été submergé par les larmes et l’anxiété sur la vie de son plaisir hépatique, qui est dans un état critique, au milieu d’une absence claire des moyens médicaux les plus simples nécessaires.

Malgré les grands efforts déployés par les cadres infirmiers de l’intérêt, en particulier par une jeune infirmière qui se déplaçait constamment entre les chambres pour suivre les cas des enfants sans soutien suffisant, les ressources et les capacités limitées restent un véritable obstacle à la prestation des soins requis pour les cas critiques.

Au milieu de cette épreuve, les fluides médicaux nécessaires ont été prescrits à l’état du nouveau-né, mais la famille n’a pas pu la trouver ni à l’intérieur de l’hôpital ni dans les pharmacies de la ville. Le correspondant d’Al-Alam a lancé l’accompagnement de la famille et la recherche de ces liquides vitaux dans un certain nombre de pharmacies et de semi-pharmacies, mais en vain, ce qui a augmenté la complexité de la situation et a augmenté la souffrance du père qui s’est retrouvé impuissant devant la lutte de son fils avec la vie.

Cet incident n’est pas seulement une condition isolée, mais plutôt un modèle flagrant pour les souffrances quotidiennes subies par de nombreuses familles confrontées au sort de ses enfants à la lumière de l’incapacité du système de santé pour fournir les conditions de soins les plus simples. Si un enfant doit lutter contre la mort entre le gémissement de son père et les regards infirmières épuisés, c’est quelque chose qui n’est pas approprié pour la dignité de l’homme et n’est pas conforme aux objectifs de l’État pour obtenir une justice complète de la santé.

Ce qui s’est passé, c’est l’intervention urgente et réelle des autorités compétentes aux niveaux régional et central, pour fournir les équipements et fournitures médicaux nécessaires, allouer suffisamment de ressources humaines et créer des unités médicales équipées pour répondre immédiatement aux cas critiques, en particulier dans les rangs des nouveau-nés.

Sauvez la vie d’un enfant à ses débuts, pas une option mais un devoir. Et de tels cas douloureux doivent déplacer des pronoms vivants, et réorganiser les priorités pour s’assurer que l’hôpital ne se transforme pas en une station-souffle, mais plutôt un espace pour la récupération et l’espoir.



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