La capitale financière, Bamako, a été témoin d’une alerte de sécurité stricte à proximité de l’ambassade de Mauritanie, en prévision de toute émeuble ou tentative d’attaquer des manifestants en colère contre la déportation de migrants irréguliers de Mauritanie.
Selon des sources locales, les forces de sécurité financière, notamment la police, la gendarmerie et la garde nationale, ont bouclé la zone entourant l’ambassade, empêchant toute rassemblement de protestation, avec des restrictions strictes imposées à l’entrée dans le quartier général, car il n’est permis aux employés.
Cette escalade intervient après que les autorités financières ont géré, lundi dernier, à contrecarrer une manifestation prévue devant l’ambassade, en réponse aux invitations d’organisations et de sociétés financières qui ont exprimé leur rejet des politiques de déportation. Les manifestants exigent que les autorités mauritaniennes examinent leurs procédures liées aux migrants, considérant qu’ils n’ont pas la flexibilité requise et prennent un caractère arbitraire dans certains cas.
À la lumière de la tension croissante, le ministre des Finances résidant à l’étranger et l’intégration africaine, Musa Ag Ag, a appelé les citoyens de son pays à contrôler la retenue, avertissant de la dérive derrière les rumeurs réparties sur les réseaux sociaux. Le ministre a souligné la profondeur des relations historiques entre le Mali et la Mauritanie, soulignant la nécessité de préserver les liens de l’amitié et de la confrérie entre les deux peuples, en particulier à la lumière des intérêts communs et des défis régionaux auxquels sont confrontés les deux pays.
Il convient de noter que les problèmes d’immigration irréguliers sont devenus un défi majeur pour les pays de la région, car les gouvernements cherchent à équilibrer entre la sécurisation de leurs frontières et le respect des droits des migrants, ce qui rend ces fichiers sensibles et inflammables à tout moment.