Conformément aux exigences du décret n° 2.22.159, qui a été ratifié par le gouvernement et publié au Journal officiel n° 7078, les zones dans lesquelles la culture du cannabis est autorisée, conformément à la loi n° 12.21 concernant les utilisations légales du cannabis, sont uniquement Chefchaouen, Al Hoceima et Taounate. Mais il existe d’autres domaines pour lesquels aucune décision n’a encore été rendue. Parce que l'étendue des superficies dans lesquelles cette plante est cultivée est grande et que ceux qui travaillent dans ce domaine d'activité agricole représentent un large secteur des groupes qui en bénéficient.
Peut-être que les statistiques publiées au cours de la courte période écoulée montrent en toute clarté le nombre de personnes exerçant cette profession, interdite par la loi, avant d'être codifiée par décrets, dans le cadre du nouveau projet de développement qui a provoqué un changement profond, fait plus fort et plus profond par le pardon royal. L'Agence nationale pour la légalisation des activités liées à la marijuana a publié cette année. 3 029 licences, contre 721 licences l'année dernière, 2023, dans le cadre de la loi relative aux usages licites de la marijuana. Cette augmentation constante du nombre de licences confirme que de larges catégories de citoyens travaillant dans ce secteur, aujourd'hui structuré et important, contribueront au développement de l'économie nationale.
Ainsi, la création de l'Agence nationale pour la légalisation des activités liées à la marijuana (cannabis indien) est une innovation pour une nouvelle approche de réconciliation entre l'État et le citoyen, qui renforcerait les fondements de la stabilité sociale, renforcerait les piliers de la société civile. l'harmonie et cultiver la confiance entre le citoyen et l'État. Ce sont les composantes les plus fortes de l’État social, outre le fait que cette réconciliation est l’une des réalisations qui ont été réalisées à ce stade, et donc une manifestation de force, d’immunité et d’immunité, qui sont les piliers de l’État social. nouveau Maroc que Sa Majesté le Roi est en train de construire, que Dieu lui accorde réussite et protection.
La vérité est que l'implication du Royaume du Maroc dans un processus international permettant le bénéfice légal du cannabis est l'un des aspects du changement qualitatif dont notre pays est témoin, surtout après la ratification du Mécanisme des Nations Unies antidrogue, en décembre 2020, le Recommandation de l'Organisation mondiale de la santé de reclasser la plante de cannabis comme plante contenant des ingrédients destinés à être utilisés à des fins médicales, industrielles et cosmétiques.
La grâce royale accordée aux petits producteurs de cannabis a créé une nouvelle réalité et créé un climat d'espoir pour les bénéficiaires, qui ne sont pas seulement les graciés, mais aussi leurs familles, leurs proches et tous les citoyens ayant un lien proche ou lointain avec la culture du cannabis. Telles sont les implications profondes de la grâce royale et ses vastes dimensions.