Pensez et laissez-moi
La salle de délit de la Cour de première instance d’Al -Hoceima a récemment statué qu’une femme avait été emprisonnée pendant une période de six mois, dans le contexte de son implication dans un ensemble d’actes qui affectent la vie privée des individus et les accusent de chanter et de demander de l’argent de manière illégale.
Selon ce que les données du fichier ont rapporté, la personne concernée a photographié une personne dans un endroit spécial à son insu ni son consentement, et j’ai diffusé et distribué ces images et clips par des moyens électroniques, provoquant une violation flagrante de sa vie privée. Il a également enregistré et publié des informations sensibles de nature secrète sans licence de ses propriétaires, profitant de ces documents pour tenter de faire chanter la victime en échange de sommes d’argent.
Des sources éclairées ont indiqué que les poursuites publiques ont également suivi l’accusé pour traiter les données personnelles sans le consentement de leurs propriétaires, dans une transgression claire de la loi garantissait la protection des données personnelles et de confidentialité.
Cette décision constitue un message clair que la violation de la vie privée et l’exploitation de la technologie dans le chantage ne passeront pas sans compte, et il se présente dans le contexte des efforts continus pour protéger les citoyens de ces abus dangereux qui affectent la sécurité personnelle et numérique.