* Science électronique: Abdul Latif al -Baz *
Du cœur de Beni Mellal, les voix de la population augmentent aujourd'hui, appelant à une intervention urgente et ferme pour arrêter la catastrophe qui balaie les rues et les carrés de la ville. Ce n'est plus seulement un phénomène de passage, mais plutôt transformé en un danger quotidien qui menace la sécurité des citoyens et déforme l'image de la ville devant ses visiteurs.
Dans tous les coins, les psychologues et mentalement désorganisés, ont été laissés à leur sort sans traitement ni soin, répandant la terre et applaudissant le ciel, errant dans les rues dans un état déplorable, certains d'entre eux sont nus, certains d'entre eux portent des bâtons ou des pierres, des enfants terrifiants et des femmes privées et ruineuses. Qui est responsable de cette situation? Où sont les corps qui sont censés préserver la dignité de l'homme et sécuriser la rue publique?
Beni Mellal, qui est destiné à être orné de recevoir des touristes et des invités, est aujourd'hui une ville où ils ont fait peur du jour et de la nuit. La population en souffre et le phénomène est exacerbé, tandis que les autorités concernées sont satisfaites du silence et de l'ignorance, comme si la question ne le concernait pas!
Nous, Beni Mellal, nous le disons d'une seule voix: assez!
Nous demandons:
• Créez des centres spécialisés pour accueillir et traiter ces patients.
• Activer le rôle des hôpitaux psychologiques d'une manière qui garantit les droits des patients et la sécurité de la société.
• Regardez les campagnes urgentes sur le terrain pour restaurer l'ordre à la rue Mullah.
• Quiconque ne fait pas son devoir envers ce dilemme.
La dignité de ces personnes désordonnées n'est pas restaurée en les laissant à l'air libre, mais plutôt en leur prodiguant des soins, tout comme notre droit en tant que citoyens à la sécurité et à la sécurité n'est de personne, mais plutôt d'un droit constitutionnel authentique.
Bani Mellal vous appelle, les responsables, alors ils ont répondu avant que la situation ne s'échappe, et nous perdons notre ville, notre couteau et notre réputation devant le monde.