Cédric a réservé depuis environ six mois chez Ryanair un vol vers Marrakech au départ de l’aéroport de Dole, du 20 juin au 1ᵉʳ juillet. La compagnie aérienne lui demande d’attendre la confirmation officielle de l’aéroport. Malgré cette incertitude, la low-cost irlandaise continue de vendre sur son site des billets pour la période de fermeture, relaie BFMTV.
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Comme Cédric, de nombreux passagers sont « dans le doute ». « Nous ne savons pas si on va partir ou être remboursés ». De son côté, la direction de l’aéroport de Dole assure avoir fait le nécessaire. « On a fait notre boulot, on a prévenu tout le monde. Ryanair est sur le coup. Il faut que les passagers se rapprochent de la compagnie. Elle a obligation de leur proposer quelque chose puisqu’ils ont vendu les billets », explique Jean-Jacques Berto, directeur de l’aéroport Dole-Jura auprès de France 3 France Comté.
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Quoi qu’il en soit, les passagers seront remboursés pour les désagréments causés en cas de modification ou d’annulation des vols, indique un juriste. Quid des réservations dans les hôtels et pour les activités sur place ? « En théorie, les transporteurs aériens ne sont pas responsables de ce qu’il se passe derrière. Mais dans ce cas particulier, il est possible de mettre la responsabilité civile du transporteur en cause », estime un autre juriste.
