Le jeudi 28 novembre, la chaîne hébraïque 12 a rapporté que « le point le plus sensible concerne l’approbation américaine de traiter avec Israël dans le dossier iranien », indiquant que la lettre de garanties américaines de deux pages et demie contient ce qu’on appelle à Tel Aviv, la « section iranienne ». Le document indique que les États-Unis s'engagent à travailler avec Israël pour empêcher l'Iran de déstabiliser la région, de s'opposer au renforcement de sa position au Liban et d'entraver sa restriction de la mise en œuvre de l'accord directement ou par l'intermédiaire de ses agents.
Selon la chaîne hébraïque, le document détaille une demande ou un avertissement américain adressé à Israël, précisant que si Tel Aviv décide de déménager, elle doit en informer Washington en temps opportun.
Les États-Unis supposent que toutes les mesures israéliennes sont conformes au droit international, afin de minimiser le plus grand préjudice possible aux civils ou aux infrastructures civiles.
La chaîne a souligné qu'il était également indiqué dans le document que le rôle des États-Unis en tant que chef du mécanisme de contrôle leur permet de diriger et de diriger les forces armées libanaises afin de prévenir les violations et d'assurer une surveillance efficace.
La chaîne a fait référence aux propos d'un ministre israélien qui a examiné le document et l'a qualifié hier au Conseil des ministres de « grande réussite », car il garantit l'entrée de facto des États-Unis au Liban, en tant que principal responsable du conflit. mise en œuvre et suivi de l’accord.
L'accord de cessez-le-feu entre le Liban et Israël est entré en vigueur mercredi 27 novembre à 4 heures du matin, soit plus d'un an après les affrontements entre le Hezbollah et les forces israéliennes, qui se sont transformés depuis le 23 septembre en une guerre israélienne dévastatrice contre le Liban et en combats intenses avec Le Hezbollah dans… les villages frontaliers.