L'ouverture, qui portait le nom de la défunte conteuse Malika Najib, a vu un extrait du folklore local gharbawi par le Sidi Kacem Haroush Art of Haith Band, suivi du discours du président de l'association organisatrice et du discours du conseil collectif, dans lequel ils ont exprimé l'importance de ce festival, qui a accumulé une expérience distincte au cours de ses sessions précédentes.
Les résultats du Prix Ahmed Bozfour de la nouvelle ont été annoncés : Mimoun Harsh de la ville de Nador a remporté le titre pour le récit « Le muet qui parlait », Abdel Wahid El Ghandoury de la ville de Sidi Bennour pour le récit « Je l'ai appelé ». la Fille de l'Atlas », et Idriss Al-Raqibi de la ville de Ouarzazate pour le récit « Anin l'eau ».
Cela a été suivi par la présentation des témoignages concernant feu Malika Naguib, présentés par Abdullah Shehab, Muhammad Moatasem, Ahmed Shukr et Rabia Abdel Kamel, de sorte que la cérémonie s'est terminée par un moment d'hommage au défunt.
Les activités du festival se sont poursuivies samedi 29 juin avec un colloque intitulé « Malika Naguib et la nouvelle », avec la participation des critiques Muhammad Moatasem, Muhammad Al-Soula, Rajaa Al-Talib, Abdel-Ghani Arif et Fouad Saber, et animé par la conteuse Toria Badawi. Elle a été suivie de lectures d'histoires présentées par des conteurs et des conteurs de différentes régions du Royaume, entrecoupées de compositions musicales de l'artiste Al-Naji Asghari.
Puis les activités se sont conclues ce matin, dimanche 30 juin, par un colloque intitulé « L'histoire des années 90 au Maroc : extension et ajout », avec la participation des critiques Saeed Monttaseb, Abdel Rahman Al-Tamara, Omar Al-Asri, Ezz Al- Din Al-Montaser et Jamal Al-Faqir, et animé par le conteur Muhammad Al-Shayeb. Après cela, des certificats d'appréciation ont été distribués aux participants à cette session du festival.