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«Ombres de mon passé», 40 ans de photos en noir et blanc signées Noureddine El Warari


L’exposition «Ombres de mon passé» de l’artiste maroco-américain Noureddine El Warari se tiendra à l’Espace Rivages de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger, du 12 au 29 septembre 2024. Cet événement, dont le vernissage est prévu jeudi 12 septembre à 18h30, mettra en lumière l’œuvre d’un photographe multidisciplinaire, maître imprimeur et conférencier au Santa Monica College.

Résident aux Etats-Unis depuis les années 1980, à Austin puis à Los Angeles et actuellement à Santa Monica (Californie), Noureddine El Warari explore aussi d’autres domaines de sa discipline favorite, croisant l’usage de l’argentique et du numérique dans l’impression. Diplômé en sciences appliquées en photographie du Programme des Beaux-Arts, en 1985 à Austin, Université du Texas, il intègre le CREART Photo Laboratory de Los Angeles pour deux ans. Il y exerce en collaboration avec les géants Universal Studios et Warner Brothers, dans le cadre de tournages de films pour les majors ou pour les agences de publicité.

Noureddine El Warari trace ensuite son parcours avec Photo Impact, de 1988 à 2003. Il se distingue en tant que maître imprimeur spécialisé en noir et blanc. «Quand l’image est en noir et blanc, elle a une âme qui la décrit ! Le noir et blanc provoque  un langage ou une conversation qui touchent à l’esprit. C’est un langage simple et compliqué en même temps», estime l’artiste.

L’exposition «L’Ombre de mon passé» rassemble d’ailleurs des photographies dans ce style, retraçant ainsi plus de quarante ans de création de leur auteur. «Cette exposition est également une histoire intime où l’artiste rend hommage au quartier de son enfance «Derb Assaltane» et les femmes qui y habitent», souligne un communiqué de la Fondation.

Natif de Casablanca, Noureddine El Warari développe son intérêt pour la photographie dès l’âge de quatorze ans. Il prend d’abord des photos avec un appareil Diana en plastique, fréquente la chambre noire d’un ami, ainsi que les studios de photographie de sa ville natale.

Au fur et à mesure des années, son engouement le mène à prendre son envol vers le pays de l’Oncle Sam, où il s’investit donc dans des études dans ce domaine.





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