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Nouvelle preuve de la présence de miliciens du Polisario aux côtés des forces de Bachar El Assad

Nouvelle preuve de la présence de miliciens du Polisario aux côtés des forces de Bachar El Assad

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Le Washington Post révèle de nouvelles preuves de la collusion entre l’Iran et le Polisario. Dans un reportage consacré à la situation sécuritaire en Syrie après la chute du régime de Bachar Al-Assad, le quotidien américain affirme que l’Iran a œuvré à la mise en place d’un «vaste réseau de groupes-relais pour défendre ses intérêts. L’Iran, par exemple, a formé des combattants du Front Polisario, un groupe basé en Algérie».

«Des centaines de membres du Polisario sont aujourd’hui détenus par les nouvelles forces de sécurité syriennes, selon un responsable régional et un troisième responsable européen.»

Washington Post

Pour rappel, Yabiladi avait déjà rapporté en décembre l’arrestation par les nouvelles autorités syriennes de dizaines de miliciens armés du Polisario combattant aux côtés des forces du régime déchu.

Cette présence a ensuite été confirmée par un document confidentiel de 2012, qui évoque un accord entre la Syrie de Bachar, l’Algérie et le Polisario, pour l’envoi, avec l’aide active du Hezbollah libanais, de centaines de combattants du Polisario en Syrie. Dans une lettre datée du 17 avril 2023 adressée à Bachar El Assad à l’occasion d’une fête nationale, Brahim Ghali a qualifié l’opposition syrienne de «forces du mal et du complot brutal».

La libération des miliciens du Polisario et de soldats algériens a poussé l’Algérie à revoir sa position vis-à-vis des nouvelles autorités de Damas, qu’elle qualifiait auparavant de «terroristes». Alger a chargé son ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, de cette mission lors d’une visite à Damas. Cependant, cette démarche n’a pas porté ses fruits.

Les changements récents Syrie pourraient aboutir un retrait imminent par le gouvernement syrien de la reconnaissance de la «République arabe sahraouie démocratique (RASD)», une décision initialement prise par le président Hafez Al-Assad au début des années 80.

Le roi Mohammed VI, dans un message de félicitations adressé en février à Ahmed Al-Charaa, à l’occasion de son accession à la présidence de la Syrie durant la période de transition, a réaffirmé «la position du Royaume du Maroc qui a toujours été de soutenir le peuple syrien frère pour réaliser ses aspirations à la liberté, à la quiétude et à la stabilité».





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