La sécurité routière au niveau de la route au Maroc était tangible, tangible, transportée de 3,42 à 1,71 mort pour 100 millions de kilomètres cassés, c’est-à-dire à une diminution annuelle moyenne de 7,41%.
Ces données révélées par le ministre de l’équipement et de l’eau, Nizar Baraka, mardi à la Chambre des représentants, mettant en évidence la diminution du taux de morts au niveau du réseau routier national de 50% au cours de la période entre 2015 et 2024.
Dans la présentation devant le Comité de base, de l’énergie, des minéraux, de l’environnement et du développement durable, le ministre a souligné que cet indicateur, qui est le plus important et le plus expressif dans le niveau de sécurité sur la voiture, était connu « une amélioration tangible », expliquant qu’il est passé de 3,42 à 1,71 mort pour 100 millions de kmomètres cassés, c’est-à-dire à une diminution annuelle moyenne de 7,41%.
En retour, le ministre a indiqué que le trafic annuel avait enregistré une augmentation remarquable de 6,95 à 10,10 milliards de km-véhicule, soit un taux de croissance annuel moyen de 4,25%.
M. Baraka a enregistré que ce « développement positif » des indicateurs de sécurité « n’était pas une coïncidence », mais plutôt « un produit d’une politique délibérée pour gérer la sécurité du trafic sur la voiture, qui est l’une des priorités maximales de la société nationale Roads au Maroc. »
Le ministre a poursuivi que cette politique est « présente à toutes les étapes, à partir de la conception des projets et à leur achèvement, et dans chaque projet de développer ou de mettre à jour les services fournis aux apprenants de la route ».
Dans ce contexte, le ministre a examiné le plan de sécurité AGIR en voiture, lancé par la National Car Roads Company au Maroc en 2018, conformément à la stratégie nationale de sécurité routière, qui est basée sur cinq procédures pour réduire le manque de sécurité routière.