Le poème d’ouverture est dans le supplément « Sciences culturelles » du jeudi 11 juillet 2024
Mon éveil
Elle a mobilisé à la place de l'oeil
Tous les regards doivent être sur leurs gardes
L'Andalousie est tombée
Avec Bagdad en
Yémen..
Quel Bilqis marche ?
Sur notre eau sans soulever
La robe est de peur d'être mouillée, oui
Nous voulons que son eau soit restaurée
L'océan est entouré de
Yémen
Puis on trouve
Tétouan
Si oui
Une huppe pour revenir
Par Bilqis
Le royaume de Salomon
Je n'en crois pas certains
Les poèmes nous tuent
dans la vie..
Pas du tout
Quelque chose si ça arrive
diminuer
Il atteint la mer
Pour la mer, ça suffit
On a pris une goutte de vin pour aller se coucher
Frères, même s'ils sont différents
Luna, qui me le rappelle ?
Qui je suis et ce que j'étais, peut-être
Je suis devenu en couleur
couleurs..?
Je ne peux pas croire
je ne suis qu'un décombre
Gloire
Il me détruit. Chaque fois que je reviens, je pleure pour lui
Il m'emprisonne dans les yeux pour que je sois rassemblé
Aveugle, je ne peux pas croire ça
Les vents suivront un balayage
Mes pas se perdent dans mes traces
Chaque titre !
Je ne peux pas croire
Les miroirs nous répètent ce que nous devenons
Sans visages
Je ne peux pas croire que je me mens
Toujours quand c'est le matin
Une maison pour Satan