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Moncef El-Toub attire l'attention sur la souffrance psychologique des étudiants en médecine


Sciences – Rabat

Lundi dernier, le parlementaire Moncef El-Toub est entré dans la ligne de discussion entre les membres de la Chambre des représentants et l'ancien ministre de l'Enseignement supérieur Abdellatif Merawi concernant l'état de la situation que connaissent les facultés de médecine et de pharmacie depuis des mois, et qui ne montre aucun des signes de soulagement dans un avenir proche.

Il a déclaré dans ce contexte : « Malheureusement, Monsieur le Ministre, jusqu'à présent, nous n'avons pas vu au ministère la volonté de résoudre ce problème, et nous alertons que ces enfants marocains vivent une crise psychologique difficile ».

Il a souligné que la stratégie de notre pays rappelle l'importance du renforcement du système hospitalier et de la réhabilitation du système de santé, ainsi que de l'augmentation de la couverture budgétaire du secteur de la santé d'ici 2025, et cet effort doit être accompagné de tous les facteurs de motivation pour que les étudiants restent dans leur pays pour étudier et travailler dans ses institutions.

Il a poursuivi en disant : « Mais nous constatons, d'un autre côté, que le problème a pris du temps et nous vous appelons, en tant que père, à ouvrir le dialogue et à abandonner certaines positions, car les quatre points en suspens ne sont pas difficile à résoudre, et nous ne pouvons pas compter sur eux pour une année universitaire de la vie des étudiants en médecine. C’est pour cette raison que nous espérons que Notre appel trouvera des oreilles attentives pour résoudre cette question.

Il est à noter que M. Mirawi a souligné dans son intervention qu'il y a quatre points en suspens dans ce dossier, liés à la ou aux années de formation, aux sanctions disciplinaires, au bureau des étudiants et à la programmation des examens.

A cet égard, il a expliqué que réduire la durée des études dans les facultés de médecine et de pharmacie à six ans ne nuit pas à la qualité de la formation, notant que le ministère a suggéré aux étudiants en grève d'ajouter trois mois de formation, renouvelables quatre fois. (représentant une septième année) pour ceux qui le souhaitent.

La question demeure actuellement : le dossier sortira-t-il de l’impasse sous le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur ?



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