Malgré la baisse des prix du carburant sur les marchés internationaux, cela ne réfléchit pas sur le marché national, de sorte que le citoyen marocain vit une situation complètement différente lorsqu’il se dirige vers les stations-service.
À cet égard, Al -Hussein Al -yamani, secrétaire-général du National Petroleum and Gas Syndicate, a déclaré que les rapports officiels confirmaient que le prix moyen d’un litre de gaz sur le marché international, au cours des huit premiers mois de l’année en cours, a atteint environ 5,35 directeurs bénéfices des auteurs.
Le même porte-parole a déclaré, dans un communiqué de « Al -Alam », qu’en revenant à l’adoption de la méthode de calcul du prix du carburant avant sa libération par le gouvernement de Benkirane et ceux qui lui aient été, le litre de l’essence ne dépassera pas 9,37 dirhams et un litre d’essence 10,64 dirhams, au cours du premier semestre de septembre. »
Il a ajouté: « Selon mon estimation simple, le total des bénéfices scandaleux (au-dessus des bénéfices qui ont été codifiés) atteindra environ 8 milliards de dirhams au cours de l’année en cours et la fin de la fin août, et cela sera ajouté au montant de 80,8 milliards de dirhams accumulés de 2016 jusqu’à la fin de 2024, ce qui a porté le total de 88,8 milliards de dirhams de » Profits scandaleux (du début de 2016 à la fin du « milliard de ».
The head of the National Front to Salvation of the Moroccan Petroleum Crusader asked, « If the high fuel prices in Morocco are one of the main reasons that ignited the fire fire in all goods and services and nurtures the continuous discontent and social anxiety in the country, what remains of speech, for all shareholders in this dangerous measure, which opened the way for the enrichment of the controllers in the oil market of Morocco and causes the purchasing power of all Les Marocains pour détruire l’industrie nationale dans le raffinage du pétrole national? »
Enfin, Al -yamani a souligné que la protection du pouvoir d’achat des Marocains et le renforcement de la sécurité énergétique nationale en temps des guerres, des confrontations et des circonstances nécessite une évaluation et une révision de la décision de libéraliser les prix du carburant et de décider de relancer la raffinerie marocaine du pétrole, de cesser d’obtenir l’observation et de détruire les industries nationales et d’encourager l’importation et d’approfondir le déficit commercial du pays.