In light of the dangerous developments known to the preparatory secondary school, Abi Dhar Al -Ghaffari, in the Bani Darar group, which exploded as a result of authoritarian practices and repeated provocations by the director of the institution, in a precise educational context coinciding with the national entitlements of the baccalaureate exams, the Free University of Education in Oujda expressed its rejection of these behaviors that threaten educational stabilité et affecter la dignité des cadres éducatifs.
L’université a déclaré, dans un communiqué que « Al -Alam » en avait atteint une copie, qu’il avait contacté la branche régionale de l’Assemblée nationale des directeurs et directeurs des écoles secondaires publiques au Maroc, et a confirmé que sa position ne cible pas une personne administrative ou un cadre spécifique, mais exprime plutôt un rejet collectif de pratiques non éducatives qui offensent le climat dans l’institution. Le bureau a reçu une promesse explicite du représentant de l’association d’intervenir de toute urgence pour contenir la situation et résoudre le conflit.
Le bureau syndical de l’Université libre de l’éducation à Oujda a enregistré que depuis le début, il a choisi l’approche de la cachette et de la logique du dialogue interne et externe, mais l’administration et l’absence d’une véritable volonté à la solution ont approfondi la crise. Il a également exprimé son rejet catégorique de chaque pratique éducative, qu’il soit administrative ou humainement, affecte la dignité des femmes et des hommes d’éducation, soulignant que la dignité est une ligne rouge qui ne peut pas être compromise.
Le bureau a également exprimé son profond regret pour les relations professionnelles au sein de l’institution, à la suite des diapositives comportementales qui ciblaient les professeurs de mathématiques, malgré les tentatives répétées pour entourer la crise et restaurer la confiance de la communauté scolaire.
Dans ce contexte, l’université a déclaré sa solidarité absolue et conditionnelle avec le professeur (RP), qui souffre d’une grave crise psychologique en raison de ce qu’elle a décrit comme des « provocations répétées », ce qui l’a forcée à arrêter de travailler en attendant l’amélioration de sa santé.
Le bureau de l’Union a fortement condamné les comportements honteux qui ont affecté les professeurs, des insultes verbales et des abus devant leurs collègues et leur administration, ce qui les a empêchés d’assister à une réunion de « retard délibéré », dans un comportement qui n’est pas lié à l’éthique éducative.
Il a également dénoncé les menaces directes et bordées émises par le directeur de la Fondation, qui se sont manifestées dans les demandes de renseignements qu’il considérait comme « malveillants » et agité des mesures disciplinaires injustes, décrivant cela comme « l’abus dans l’utilisation du pouvoir » et est explicite sur les principes de bonne gouvernance.
Dans le même contexte, le bureau a condamné l’état du chaos et administratif immédiatement défini par la Fondation, en raison de ce qu’il a décrit comme « l’absence d’une gestion de Rashid » par le directeur, surprenant en même temps « le silence incompréhensible » de la Direction régionale, qui a choisi – selon le communiqué – pour s’échapper vers l’avant au lieu d’une intervention décisive.
L’Université libre de l’éducation a tenu la direction régionale entièrement responsable de l’explosion imminente à l’intérieur de l’institution, en raison de son incapacité à faire face aux abus administratifs et éducatifs répétés, ce qui a contribué à l’engagement de la situation et à la menace de la paix professionnelle au sein de l’institution.
L’université a exigé qu’un comité régional urgent soit envoyé pour enquêter sur les violations commises, à des professeurs concernés et à prendre les mesures disciplinaires nécessaires contre tous ceux qui ont offensé la réputation de l’école publique.
La déclaration conclue en soulignant que la décision de lutter contre les batailles militantes reste une décision souveraine des cadres éducatifs au sein de l’institution, qui sera mis en œuvre selon un programme de lutte à la hausse pour défendre la dignité et en réponse à des insultes répétées.
L’Université gratuite de l’éducation (UGTM) a également renouvelé son engagement total envers son syndicat et ses responsabilités éducatives, soulignant qu’il continuera de suivre ce dossier de près jusqu’à ce que tous les droits soient rétablis et l’examen des opprimés.