Drapeau électronique: Abdullah Jaddad
Dans une décision diplomatique de premier plan qui reflète les transformations profondes observées par la présence marocaine sur la scène africaine, la ville d’El-Ayoun, la présente des régions du Sud, a été témoin de l’organisation du Forum parlementaire pour la coopération économique entre le royaume du Maroc et le groupe économique et country des pays centrands africains (Simik), en vertu du haut patronage de sa majesté King Mohammed.
Mohamed Ould Al-Rashid, président de la Chambre des conseillers, a confirmé lors de son discours lors de l’ouverture du Forum, que cette réunion est l’aboutissement d’un chemin institutionnel qui a été lancé à partir de Rabat il y a des mois et incarne une volonté commune de construire un véritable partenariat africain basé sur le parlementaire et l’intégration économique. Il a considéré que le Maroc et les pays de Simak marchent dans un rythme confiant vers la cristallisation d’un modèle intégré de coopération sud-sud, basé sur la solidarité et le développement conjoint.
OULD Al-Rashid a souligné que cette tendance est basée sur la vision stratégique de Sa Majesté le roi Mohammed VI, qui a fait de la coopération africaine la pierre angulaire de la politique étrangère marocaine, à travers des projets de dimension continentale, tels que le gazon marocain-nigérian, et l’initiative pour adapter l’agriculture africaine avec les changements climatiques, ainsi que le projet d’hydrrogène vert.
Il a également souligné l’engagement fixe du Maroc envers l’African Agenda 2063, par un équilibre précis entre l’engagement politique, l’investissement économique et les initiatives de solidarité, ce qui traduit le désir du royaume d’améliorer le développement durable, en particulier face à des défis structurels dont le continent souffre, comme l’insécurité alimentaire et les effets climatiques rigoureux.
Dans ce contexte, il a souligné que la transition énergétique est devenue un pari souverain sur le continent africain, appelant à des investissements sérieux dans les énergies renouvelables et les technologies vertes, soulignant que le Maroc était capable, grâce à la direction rationnelle du roi, pour garantir 25% de ses besoins énergétiques à partir de sources renouvelables, avec une ambition pour atteindre 52% dans l’horizon de 2030.
OULD AL-RASHID n’a pas perdu de vue l’importance du secteur privé, considérant que le partenariat entre les acteurs économiques des deux côtés est nécessaire pour surmonter des initiatives limitées vers des stratégies complètes d’intégration, valorisant la forte présence de représentants de l’Union contractuelle marocaine et leurs homologues des pays SIMAC.
Grâce à ce dynamisme, Mohamed Ould al-Rashid a pu soulever le rythme de la diplomatie parlementaire marocaine et employer le site institutionnel de la Chambre des conseillers dans le sens de renforcer la position continentale du Royaume et de faire de l’œuvre parlementaire un véritable levier pour renforcer les relations sud-sud.
Ce forum, né de l’utérus de la vision royale, est une station fondatrice pour une transformation qualitative dans les relations du Maroc avec les pays d’Afrique centrale, le titre de confiance, les travaux conjoints, la souveraineté africaine et l’intégration régionale. Quant au choix de la ville d’El -Ayoun pour adopter cet événement, il est en soi un coup diplomatique retentissant aux ennemis de l’intégrité territoriale et à consolider la position des régions du Sud en tant que pont marocain-africain vers l’avenir.
Le symbolisme des yeux de cet événement international n’est pas normal, mais plutôt un message politique et diplomatique fort aux opposants à l’intégrité territoriale du Royaume, dirigée par l’Algérie et le Front du Polisario, que le Sahara marocain est devenu un espace ouvert pour la coopération internationale, une plate-forme africaine pour consacrer à l’intégration économique et politique, et que les pratiques de Maghreb ont déjà fait ses activités.