Lors d’une session législative tenue lundi, la Chambre des représentants a approuvé la proposition de droit n ° 5.171.22 liée à la modification de l’article 19 de la loi n ° 15.01 liée à la négligence des enfants négligés.
Dans son interaction avec la proposition de droit, le ministre a délégué au Premier ministre responsable des relations avec le Parlement, le porte-parole du gouvernement, Mustafa Baitas, a souligné que la proposition soumise par l’équipe socialiste – l’opposition fédérale vise à modifier les dispositions de l’article 19 de la loi liée à la négligence des enfants négligé Autorisé à effectuer des recherches et des enquêtes, il est stipulé dans cet article, qui permet au juge d’annuler la garantie d’une manière qui contribue à la perpétuation du droit du sponsor au procès équitable et aux droits de défense.
Le fonctionnaire du gouvernement a souligné que cette proposition avait été précédemment étudiée et présentée lors de la réunion du gouvernement tenue le 29 décembre 2022, lorsque le gouvernement a exprimé son approbation, en ajoutant l’inscription procédurale que le sponsor doit être écouté par le juge en charge des affaires des mineurs avant l’ordre de annuler la garantie, car elle garantit au commanditaire les termes de la Constitution et de la défense, qui sont garanties par les deux chapitres 23 et 120 de la Constitution.
M. Baitas a déclaré que pour évoquer les droits de l’enfant garanti à la protection juridique et judiciaire garantie par la Constitution et les clauses restrictives internationales, il est nécessaire en cas de nécessité d’ajouter une sorte de flexibilité dans l’adoption de cette procédure pour réduire sa nature obligatoire, et que lorsque le statut de l’enfant parrain est tenu de pénétrer le judiciaire de manière urgente pour le protéger.
Il a souligné que « la restriction procédurale supplémentaire peut entraîner des préjudices à l’intérêt supérieur de l’enfant parrainé, en prolongeant ce souverain, qui n’atteint pas l’efficacité judiciaire requise, en particulier lorsque le sponsor réside en dehors de la patrie ou n’est pas possible d’appeler ».
M. Baitas a enregistré que « la réalisation d’un équilibre entre les droits du sponsor et les droits de l’enfant garanti nécessite un adoucissement de ses effets en cas de nécessité, en permettant au juge d’ordonner l’annulation de la garantie sans écouter le sponsor ».
Pour sa part, Al -fatimi Moulay Al -Mahdi, membre de l’équipe socialiste – l’opposition fédérale, a souligné lors de sa présentation de ce texte législatif que la loi n ° 15.01 relative à la négligence des enfants négligés, est l’un des ateliers légaux ouverts dans le cadre des efforts pour faire avancer les conditions d’enfance et améliorer la protection légale de l’enfant « en tant que catégorie spéciale est préoccupante avec laquelle il est pour le réchauffement des parents, ce qui est une catégorie spéciale est une catégorie spéciale est une catégorie spéciale. La catégorie des enfants négligés, avec les conséquences à ce sujet à partir de conséquences réalistes, juridiques, économiques et sociales.
Le parlementaire a souligné que la proposition de droit est venue fournir un certain nombre de réponses concernant cette situation, d’une manière qui garantit les droits des enfants concernés, les élevant et l’éducation conformément à une approche qui atteint l’essence du parrainage dans sa dimension humaine.
He pointed out that by virtue of a number of transformations that print life and the emergence of a number of problems related to the application of Law No. 15.01 related to the negligence of neglected children, the problem of depriving the sponsor of the child was proposed to make his defenses and observations regarding the reports referred to in Article 19 of the aforementioned law, especially in light of the possibility of expedited implementation despite all the appeal, although there is the right to resume the same order by the sponsors de l’enfant.
Il a souligné que cette affaire nécessite de permettre aux sponsors de l’enfant d’exprimer ses observations afin de former la condamnation d’une institution sur les données intégrées avant de prendre toute décision concernant le statut de l’enfant parrainé et ce qui peut en résulter.