Les marchés hebdomadaires de la région d’Al-Hoceima assistent à une augmentation notable des prix des légumes et des fruits, ce qui a déclenché une vague d’insatisfaction à l’égard des rangs des consommateurs, en particulier parmi ceux qui ont un revenu limité qui se retrouvent devant une équation difficile entre répondre à leurs besoins quotidiens et maintenir le budget de leurs familles.
Selon les déclarations d’un certain nombre d’acheteurs, des augmentations soudaines ont affecté les différents matériaux de base, ce qui a fait l’acquisition d’un simple panier de légumes et de fruits coûte des montants exorbitants par rapport aux derniers mois. Ils considèrent que ces prix élevés ont dépassé le pouvoir d’achat de grands segments de citoyens, à un moment où les obligations de vie avec l’entrée scolaire et le coût élevé de la vie en général.
Les adeptes des affaires économiques locales estiment que cette situation est liée à plusieurs facteurs, notamment les coûts élevés de transport et de distribution, l’effet des courtiers et des spéculateurs sur la trajectoire des prix, ainsi que les mécanismes de surveillance limités et la faible intervention des agences concernées pour contrôler le marché et assurer un équilibre entre l’approvisionnement et la demande.
Pour sa part, les citoyens demandent aux autorités compétentes d’intensifier la surveillance des marchés hebdomadaires et de resserrer le contrôle des chaînes de distribution, tout en développant des mécanismes efficaces pour lutter contre le monopole et réduire la cupidité de certains marchands. Ils soulignent également la nécessité de soutenir des groupes fragiles, car ils sont les plus touchés par les prix élevés fréquents.
La question demeure de toute urgence: combien de temps cette augmentation des prix se poursuivra-t-elle? Les autorités responsables se déplacent-elles pour trouver des solutions pratiques qui garantissent la stabilité du marché et protègent le pouvoir d’achat des citoyens?