Une étude récente menée par l’Université britannique de Pleimmouth a révélé que les nanoparticules étaient capables de pénétrer dans les parties alimentaires de certains légumes, comme le radis, dans un précédent scientifique qui ouvre la discussion sur de nouvelles formes de pollution alimentaire invisible.
Selon l’expérience, environ 5% de ces molécules ont réussi à atteindre la plante après seulement cinq jours, car ils ont accumulé 25% dans les racines et 10% dans les feuilles, ce qui confirme la possibilité de leur transmission aux humains et aux animaux lors de la consommation de ces cultures.
Les chercheurs pensent que ces résultats soulèvent de sérieuses préoccupations concernant les risques possibles pour la santé à long terme, en l’absence de connaissances précises de l’effet de la consommation de nanoparticules sur le corps humain. Ils ont également souligné la nécessité d’élargir la portée des futures études pour comprendre les conséquences de cette pollution silencieuse sur la santé publique et les systèmes environnementaux et alimentaires.