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Les Marocains de l’Algérie exigent la justice internationale

Les Marocains de l’Algérie exigent la justice internationale

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* Écrit par // abdo hakki *

Le dossier des Marocains a été expulsé d’Algérie en 1975 est revenu à sa douloureuse tragédie de sous les décombres des années, dans une tentative humanitaire et des droits de l’homme pour raviver une blessure qui n’a pas guéri et a révélé l’une des pages les plus noires des relations arabes Maghreb et contemporaines.

C’est une tragédie dont les détails ont été délibérément bloqués, et les systèmes démocratiques ont été maintenus silencieux, et les forums internationaux des droits de l’homme étaient silencieux à leur sujet, malgré la faille sociale et la fragilité profonde qu’ils ont laissées dans la vie de milliers de familles marocaines qui se retrouvaient soudainement, et dans l’œil de la vengeance politique, à l’air libre, sans abri, sans pays et sans même interprétation.

Aujourd’hui, après cinquante ans, complètement et complètement sur ce crime, les victimes de l’expulsion se déplacent à nouveau, portant leur douleur aux Capitals of Human Rights Decision en Europe. The “International Assembly for the Support of Moroccan Families Tired of Algeria” announced the launch of a civil convoy that will roam the most prominent cities and capitals that embrace international institutions and human rights organizations, headed by Geneva, Brussels and Strasbourg, in an attempt to break the wall The silence that surrounded this Arab tragedy for decades, and to push towards an official recognition of the Algerian state for the grave violations that were committed contre plus de 45 000 familles marocaines.

Ce n’est pas seulement une station de mémoire, mais plutôt une tentative d’extraire une confession longue, et une tentative de renvoyer la dignité à des victimes innocentes qui ont été traitées comme des ennemis entre une nuit et claire, bien qu’ils soient restés et que leurs enfants ne soient pas nés en Algérie pendant des décennies, et ils faisaient partie de leur tissu social et économique, avant que les portes ne soient fermées à leurs pochettes et ont volé leurs propriétés et séparées de leurs familles et de leurs familles et références.

The crime was not merely an expulsion by a reckless political decision, but rather a collective punishment against the background of the return of Morocco to its Sahara in a peaceful manner, through the Madrid agreement, which was not liked by the Algerian presidency at the time, so the response was from outside the logic of neighborhood and joint history: forced displacement, collective in trucks, and without warning, for tens of thousands of innocent people, in a harsh Saison d’hiver, laissant derrière elle des maisons et les tombes des grands-parents.

Le prochain convoi des droits de l’homme, comme les organisateurs, s’annonceront, s’accompagneront d’un « principal symposium scientifique » à Bruxelles, en partenariat avec « l’Organisation marocaine des droits de l’homme », au cours duquel un rapport soutenu par le « Conseil communautaire marocain à l’étranger » sera présenté, documenté avec des chiffres officiels, des certificats et des données. Et à l’extérieur.

Au Maroc, ce rassemblement a décidé de lancer une « campagne de documentation et de sensibilisation » dans les villes et les universités, y compris l’enregistrement des certificats en direct pour les victimes et leurs familles ou les survivants, et l’a mis à la disposition des chercheurs et des professionnels des médias, dans le cadre d’un mouvement de la mémoire collective, et de veiller à ce que le problème reste vivant dans le débat juridique.

La caractéristique la plus importante de cette campagne est peut-être la conscience de ses organisateurs que la bataille n’est pas seulement politique, mais aussi une « bataille médiatique et politique ». Par conséquent, le rassemblement a préparé un plan médiatique intégré, qui comprend l’ouverture à la presse internationale, et pour améliorer la cellule de communication avec de nouvelles compétences, dans le but de pénétrer le mur d’obscurité qui a affecté ce problème pendant des décennies.

Bien que un demi-siècle se soit écoulé, « les demandes n’ont pas changé »: dont la première est une reconnaissance officielle de l’État algérien pour le crime, des excuses publiques et la réparation des dommages matériels et moraux aux familles qui criaient pour leurs droits, sans aucune base juridique. Ce sont des demandes humaines, juste, ne tombent pas dans le délai de prescription et ne pardonnent pas la politique d’oubli ou de silence.

L’amertume surprenante est que l’État algérien qui prétend élever des slogans sur les droits de l’homme dans tous les forums et prétend défendre les peuples opprimés, refuse de reconnaître ce jour simplement que ce que le président Houari Boumediene a commis en 1975 était un crime collectif, qui ne est pas digne d’un État qui prétendait appartenir à la révolution de la libération. Et si la justice transitoire est devenue une norme morale et politique pour mesurer la crédibilité des pays dans la réconciliation de son histoire, alors l’Algérie est nécessaire aujourd’hui, plus que jamais, pour briser cette barrière morale, et reconnaître sa responsabilité d’une tragédie qui n’a pas été confinée à la géographie de Maghreb, mais est plutôt devenue une question mondiale qui affecte les valeurs fondamentales des droits humains.

Ce dossier tragique remonte aujourd’hui à l’interface humanitaire et juridique, non pas par une décision politique, mais avec une insistance civile, des victimes qui ne comptent plus sur le silence ou la compassion, mais plutôt la vérité et la justice. Peut-être que la question que la conscience humaine posera à Genève, Strasbourg et Bruxelles est: «Combien de temps les pays dictatoriaux ont-ils besoin pour reconnaître l’injustice? Combien de génération devrait-il mesurer cette tragédie jusqu’à ce que la justice soit atteinte?»

Ce n’est pas seulement une question de Marocains qui ont été expulsés d’Algérie, mais d’une « question humanitaire avec distinction », liée au concept de dignité et au droit des individus de ne pas être puni sur la base de leur nationalité ou des positions de leur pays d’origine. Le dossier des expulsés de l’Algérie en 1975, que je veux être accordés, voici de la porte de la conscience internationale, transportée par la détermination et la détermination de ceux qui ont décidé que la mémoire ne mourrait pas tant qu’il y a des cœurs dans le monde démocratique qui bat avec justice et équité.



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