Le quotidien Assabah rapporte que les autorités émiraties procèdent à des interrogatoires et à la vérification des papiers avant d’interdire l’accès au territoire à ces femmes, suscitant leur « stupéfaction et mécontentement ».
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Certaines des voyageuses refoulées affirment avoir présenté des justificatifs prouvant le motif de leur séjour : travail, formation, ou autres activités légales. Pourtant, la police des frontières, sous l’autorité de l’Autorité Fédérale pour l’Identité, la Citoyenneté, les Douanes et la Sécurité des Ports, est restée inflexible.
Les raisons de ces refus d’entrée restent floues. Des sources évoquent un lien possible avec un message diffusé sur les réseaux sociaux par une jeune femme se présentant comme Marocaine. Dans ce message en anglais, elle raconte avoir été victime d’un viol collectif après avoir été attirée à Dubaï pour une soirée grassement rémunérée.