Les manifestations appelées par le Mouvement des jeunes de la jeunesse Z, mardi soir 30 septembre, se sont écartées de son contexte pacifique et se sont transformées en émeutes dans certaines régions, comme le groupe AIT Amira dans la province d’Ashtouka Ait Baha, ainsi que les villes d’Inezgane, de Jeddah et Tamara.
Les objectifs des caméras ont ramassé un groupe de manifestants, brisant des voitures appartenant à la gendarmerie royale, à la sécurité nationale et aux forces auxiliaires, et sont même venus se mettre le feu.
Des vidéos de l’endroit ont documenté un groupe de jeunes qui ont jeté des éléments de la sécurité nationale et des forces auxiliaires, en particulier, avec des pierres, ce qui a entraîné la blessure d’un certain nombre d’entre elles, ce qui a entraîné un état de chaos à proximité de la manifestation.
Jusqu’à présent, les autorités et services de sécurité concernés tentent de contrôler la situation et de calmer la situation pour empêcher la propagation de la violence et s’assurer qu’aucun dommage supplémentaire ne se produit.
Depuis le début des manifestations samedi dernier, les forces de sécurité ont empêché des dizaines de jeunes qui ont tenté de participer à des manifestations dans plusieurs villes marocaines, qui ont été appelées par le groupe Gil Z 212, avant que la plupart d’entre eux ne soient libérés, « à l’exception d’environ 15 à 20 personnes à Rabat, qui est apparue mardi avant la poursuite du public. »
Certains manifestants ont élevé les slogans de « les gens veulent la santé et l’éducation » et « les gens veulent laisser tomber la corruption », tandis que d’autres ont chanté, « les stades sont, mais où sont les hôpitaux ».
Le mouvement « Gil Z » se décrit comme un « espace de discussion » sur « les questions de préoccupation pour tous les citoyens tels que la santé, l’éducation et la lutte contre la corruption », confirmant le rejet de la « violence » et de « l’amour de la patrie et du roi ».