Science électronique – par Fouad Yaqoubi
Dans les manifestations des 26 et 27 septembre 2025, une génération est descendue dans la rue comme une génération de « sucre », « comme » et une séparation de la réalité. Mais cette génération, décrite comme « Al -marqam », a brisé le stéréotype et a fortement imposé sa présence sur le terrain, non pas pour les slogans lâches, mais pour les droits les plus simples: l’éducation et la santé. Les réseaux de communication ne suffisent plus pour exprimer l’étendue du mécontentement, et le «hashtag» n’est pas suffisant pour arrêter la détérioration qui frappe l’école publique et les hôpitaux publics. Les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas sortis à la recherche de confrontation, mais plutôt de dignité. Pour un siège qui n’est pas acheté et un lit d’hôpital dans lequel les pauvres ne sont pas insultés. Cette génération numérique a compris que rien ne change de derrière l’écran uniquement, il a donc porté sa colère dans la rue, non pas comme un outil de destruction, mais comme un outil d’avertissement.
Cette sortie collective n’était pas un moment qui passe, mais plutôt un message politique et social profond: la génération post-facebook n’est pas inattentive et non silencieuse. Il parle juste dans sa langue et bouge quand il sent que le silence est devenu une trahison de soi. Il est sorti parce que la réalité a passé l’imagination et parce que le sentiment de marginalisation n’est plus possible. Est-ce qui écoute? Quelqu’un a-t-il le courage de voir que cette génération ne nécessite pas l’impossible, mais seulement le minimum d’une vie décente?