L’Association des jeunes de l’école a exprimé une branche de Tamall, son regret et sa condamnation de ce qu’il a décrit comme l’attaque odieux contre un enfant mineur qui n’a pas plus de 13 ans, souffrant d’un handicap mental, dans le groupe Awlad Arad du district d’Al-Aatawiya.
Une invitation à protéger l’enfance et à améliorer les soins des personnes en position d’invalidité
Dans le cadre de son appel à protéger l’enfance et à améliorer les soins des personnes dans une situation d’invalidité, l’association a considéré que ce qui s’est passé est une touche de droits de l’enfance et met en évidence la fragilité de la protection sociale prévue aux enfants dans des postes spéciaux, soulignant que le problème n’est pas seulement la victime et sa famille, mais plutôt un test de la mesure de la gravité de la société à résoudre de tels victimes.
L’association a également exprimé sa préoccupation concernant les répercussions de cet incident sur la psyché de la victime et ses collègues de la communauté scolaire, appelant à la prestation des soins psychologiques et sociaux nécessaires.
La déclaration de l’association indiquait un certain nombre de demandes de base, notamment la garantie d’un essai équitable et rapide dans le contexte de ce qui est stipulé dans la loi.
Fournir un soutien psychologique et social aux filles et aux membres de sa famille, ainsi que les agences gouvernementales et la société civile interviennent pour assurer la protection et le soutien aux familles dans une position fragile, et pour lancer des campagnes de sensibilisation sur la violence sexuelle, en particulier celles qui affectent les personnes en position d’invalidité.
L’association a conclu sa déclaration en invitant toutes les autorités concernées, des droits de l’homme et des autorités civiles et des institutions, à activer les mécanismes de protection réels des enfants et à travailler dur pour éviter la répétition de ces cas.
L’association a soulevé le slogan « ensemble afin de rétablir la considération pour la fille handicapée et l’enfance au Maroc », qui a conclu sa déclaration, réaffirmant que la protection de l’enfance est une responsabilité collective qui n’accepte pas le report.