La Coalition marocaine des droits de l’homme a envoyé un message ouvert au ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, lui demandant d’intervenir de toute urgence pour sauver les Marocains bloqués dans la bande de Gaza, à la lumière des conditions catastrophiques vécues par les civils à la suite de la guerre continue.
La coalition a souligné que l’appel était sur la base d’un message de l’Association marocaine de Gaza, qui a confirmé la continuation de la souffrance de dizaines de marocains, en particulier les femmes, les enfants et les personnes âgées, dans des conditions inhumaines qui menacent leur vie en raison de la mort, de la famine et des déplacements, ainsi que de la propagation des maladies, de l’absence des médines et des soins de santé.
La lettre a ajouté que la guerre a provoqué la destruction des maisons de nombreuses familles et leur déplacement, alors qu’il n’y a pas de données précises sur le nombre de victimes ou de survivants de la communauté marocaine.
La coalition a souligné que le processus d’évacuation des étrangers de Gaza se déroule actuellement par le biais du Kerem Abu Salem Crossing, en coordination avec le Comité international de la Croix-Rouge et les ambassades de leur pays, qui nécessite le mouvement des autorités marocaines pour inclure les noms de leurs citoyens au sein des listes d’évacuation et les transférer par Oman à la patrimoine, similaire à la reste des pays.
La rédaction exécutive de la coalition a souligné que le Maroc a la responsabilité de protéger ses citoyens et ses citoyens à l’étranger, appelant le ministère à se coordonner avec l’association marocaine de Gaza et les organisations humanitaires pertinentes pour accélérer les opérations de secours et d’évacuation, afin de préserver la vie de l’effondrement et de l’origine leurs souffrances continues pendant deux ans.
La lettre s’est terminée par une invitation urgente à répondre à l’appel humanitaire urgent et à sauver la communauté marocaine restante du secteur, en attendant la communication officielle du ministère confirmant l’interaction avec cette demande.