Un certain nombre de terres agricoles appartenant aux petits agriculteurs de la région, en particulier celles consacrées à la culture du maïs, du rouge, du jaune et du pâturage, en plus des terres plantées avec du riz de coopératives de réforme agricole, témoignent des interruptions répétées dans l’eau par les intérêts du ministère de l’Agriculture, qui a suscité une vague d’anxiété et de référencement entre les agriculteurs.
Une large conversation prévaut parmi les agriculteurs, en particulier les agriculteurs de riz, sur les graves dommages qui ont commencé à agiter à l’horizon en raison du manque d’eau, car ils ont envoyé plusieurs plaintes aux autorités concernées exigeant ce qui constitue des enjeux suffisants de l’eau pour sauver leur culture avant qu’il ne soit trop tard, appelant à une intervention urgente pour éviter le s’effondrer la saison agricole et la révocation de la révocation du Cycy économique local.
La culture du riz est l’une des cultures de base de la région, en raison de l’importance significative de la socio-économique, car elle comprend un revenu continent pour environ 2 500 agriculteurs et fournit plus de 1,2 million de jours ouvrables par an. Les champs de riz sont traditionnellement racontés dans une immersion continue, ce qui les rend très affectés par toute réduction ou interruption de l’eau d’irrigation. Cependant, certaines expériences modernes sont devenues basées sur l’irrigation goutte à goutte ou l’irrigation intermittente comme alternatives à la rationalisation de la consommation d’eau.
Les paysans espèrent que les autorités compétentes répondront à leurs demandes au plus tôt, afin de préserver les investissements agricoles et le travail, et de s’assurer que la culture du riz se poursuit comme une source majeure de revenus dans la région.