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Les corps civils organisent un symposium sur la corruption à Trannesbranse, au Maroc, malgré le rejet de l’Union nationale de la presse marocaine pour lui permettre le siège

Les corps civils organisent un symposium sur la corruption à Trannesbranse, au Maroc, malgré le rejet de l’Union nationale de la presse marocaine pour lui permettre le siège

Nom de domaine

Science électronique – Rabat

En contestant une décision soudaine de retirer la licence d’utiliser le siège de l’Union nationale de la presse marocaine, les composantes de la coalition civile pour lutter contre la corruption et protéger l’argent public organisé ce matin, le mercredi 25 juin 2025 avec « des tentatives pour restreindre le débat public sur la transparence et l’intégrité ».

L’organisation de ce symposium, connu pour une présence équilibrée de plates-formes de médias audio, visuelles, tendres et électroniques, intervient après avoir été initialement prévue au siège de l’Union nationale de la presse marocaine, avant que cette dernière ne rétracte la licence sans fournir de justifications convaincantes, selon ce qui a été déclaré dans une communication conjointe des composants de la Fomition.

La même communication a condamné ce déclin « injustifié et incompréhensible », et l’a considéré comme « une diapositive qui affecte la liberté de l’action civile et affaiblit la position de l’Union en tant que partenaire naturel et permanent dans la défense des droits et libertés, dont avant tout le droit à l’information et à la lutte contre la corruption ».

Les associations ont souligné que leur position ne cible pas le syndicat en tant qu’entité, mais exprime plutôt son refus d’utiliser son siège social comme un outil pour «freiner ou bloquer» face aux problèmes de transparence.

Les participants au Symposium ont circulé plusieurs axes, notamment les indicateurs croissants de la corruption, et les défis auxquels la société civile est confrontée en exposant les aspects de la corruption, avec un examen des données sur le terrain et des certificats sur l’obstruction aux droits de l’homme et aux initiatives civiles dans cette direction. Il a également été souligné à la nécessité d’ouvrir un débat national responsable sur les mécanismes de protection de l’argent public et d’activation des lois pertinentes.

Le Symposium a été témoin de la participation de représentants de 23 associations et organisateurs de la Coalition, notamment l’Association marocaine pour la lutte contre la corruption, la Ligue marocaine pour les droits de l’homme, le Forum Karama, l’organisation des médias et l’organisation d’expression « Hatem » et le réseau marocain pour la protection du fonds public, en plus des activités de la société civile.

À la fin du symposium, les organisateurs ont affirmé leur intention de poursuivre le chemin de la lutte pour lutter contre toutes les formes de corruption et de corruption, tout en adhérant au droit à l’expression et à l’organisation d’initiatives des droits de l’homme de manière libre et indépendante, quelle que soit la nature de la pression ou des obstacles.



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