Mercredi matin 23 avril 2025, les autorités algériennes ont publié un nouveau lot de 40 jeunes marocains qui étaient candidats à une migration irrégulière, selon ce que le bureau administratif de l’Association marocaine pour aider les migrants dans une situation difficile, qui suit de près 500 cas.
L’association a déclaré que la situation est très préoccupée à la lumière de l’escalade des tensions régionales, soulignant que ces fichiers sont un axe majeur dans leur communication avec un certain nombre d’organismes et d’institutions internationaux.
This topic was, in addition to the file of missing and deceased immigrants, as part of the discussions presented by the association on the sidelines of the academic meeting that the European Council in Strasbourg on April 23 and 2424, under the title: « Design public policies in the file of missing and immigrants in immigration paths », in which United Nations, International Organization for Migration, and the International Committee of the Red Cross, along with parliamentary blocs participated European, Sociétés, experts et spécialistes en droit international, ainsi que le Rapporteur des Nations Unies pour les droits de l’homme et l’immigration.
L’Association marocaine pour aider les migrants continue de suivre un grand nombre de cas, parmi lesquels les jeunes dossiers qui subissent actuellement des réserves administratives en attendant leur expulsion, en plus des dossiers pour les filles détenues, dont 40 dossiers liés à des dispositions élémentaires sévères qui ont atteint dix ans de prison.
L’association appelle également à révéler le sort des disparus, y compris des membres de familles algériennes à la recherche de leurs fils disparus, que ce soit au Maroc ou en Algérie, car il exige la livraison des organismes de sept marocains, y compris deux organes de deux filles qui viennent de la région orientale, en attendant l’achèvement des procédures juridiques et administratives nécessaires pour les recevoir par ses familles, car l’association avait précédemment facilité les procédures similaires.
L’association a confirmé son intention de continuer à plaider sur ce dossier sensible, en tenant des réunions attendues avec un certain nombre d’institutions nationales et internationales, dans le cadre d’une approche humanitaire et juridique visant à protéger les droits des migrants, révélant le sort des personnes disparues et accélérant les procédures de déportation.
Un certain nombre de jeunes marocains attendent toujours des décisions pour les expulser de l’Algérie au Maroc, à la lumière des conditions humanitaires qui nécessitent une intervention urgente des divers acteurs concernés.