La Cour d’appel de Tangier a clôturé le rideau sur l’un des plus grands cas de monument et de fraude financière qui a secoué l’opinion publique marocaine, connue des médias sous le nom de « groupe de bien », où les décisions élémentaires rendues contre les personnes impliquées, en même temps, soutenaient les exigences de ceux qui exigeaient le droit civil sur le prétexte de non-compétence.
L’affaire qui occupait l’arène judiciaire et des médias pendant des mois, liée à un faux réseau d’investissement qui a profité des aspirations de centaines de citoyens à la recherche d’un bénéfice rapide, par des promesses d’énormes bénéfices mensuels en échange de contributions financières, sans que le groupe soit disponible sur une licence juridique pour engager des activités financières ou d’investissement.
La Cour de première instance a rendu des décisions variables sur le droit de 23 accusées, après de longues sessions qui ont duré plus de 40 heures, à la lumière d’une présence intense des victimes qui ont dépassé mille, qui ont rempli les côtés de la salle des sessions dans l’espoir de récupérer leur argent et leur équité judiciaire.
Parmi les jugements éminents, les deux principaux suspects ont été reconnus coupables du dossier, deux sectes appelées « Yousra » et « Karima », avec cinq ans en vigueur et une amende de 5 000 dirhams pour un, tandis que les pénalités pour le reste de l’emprisonnement arrêté et suspendu ont varié selon le degré de leur implication dans le cas.
Le groupe a été accusé de fortes charges qui comprenaient: le monument et la fraude, la collecte d’argent sans licence, l’investissement illégal, la contrebande d’argent et la transmission illégale dans les monnaies numériques, car il a été constaté que le réseau était actif en secret sans surveillance officielle, profitant de la fragilité légale liée à l’investissement numérique.
Malgré le soutien des décisions de restriction, la décision du tribunal a déçu les victimes en termes de recouvrement de leur argent, après que leurs demandes civiles ont rejeté le manque de compétence de l’organe pénal pour décider, ce qui leur ouvre la voie à déposer de nouveaux affaires civiles pour tenter de collecter leurs droits financiers.
L’affaire a provoqué un large choc parmi les Tanjawi, après avoir constaté que les pertes financières des participants au projet imaginaire dépassaient des milliards de centimètres, ce qui reflète le danger de flambées d’investissement sans licence et le vide légal qui permet sa propagation.
Ce dossier, qui a défini le suivi national, restaure au premier plan la nécessité de renforcer les mécanismes de surveillance et de législation concernant les transactions numériques et la collecte de fonds, et appelle à plus de prudence contre les promesses d’investissement qui ne sont pas basées sur une base légale ou réaliste.