Dans les développements passionnants d’une affaire judiciaire qui a secoué l’opinion publique dans la ville de Fès, le procureur adjoint du roi de la Cour d’appel, nommé « MM », mardi dernier, a subi une séance d’enquête de marathon, qui est la seconde de son genre, dans le contexte d’une forte plainte qui comprend des accusations de harcèlement, d’extorsion, de fraude et d’influence. Le fonctionnaire judiciaire a été temporairement arrêté et placé sous le contrôle judiciaire tout en l’empêchant de quitter le territoire national, en attendant la clarification de tous les fils du dossier, dont la portée élargit jour après jour.
L’affaire a explosé sur la base d’une plainte déposée par « M.S. », un investisseur bien connu et propriétaire d’un hôtel à Fès, dans lequel le procureur adjoint l’a accusé de le faire chanter financièrement et de fabriquer de faux dossiers contre lui en échange de sommes d’argent et de services, notamment le règlement d’un dossier judiciaire appartenant à son frère détenu dans un cas de drogue. Dans la plainte la plus importante, l’achat d’une « Volkswagen » de luxe vaut 26 millions de centimètres, qui a ensuite été enregistré au nom du fonctionnaire judiciaire présumé.
La dernière séance d’enquête a été décisive, après le juge enquêté, accusé de l’épouse du plaignant, « LM », qui a révélé des détails choquants sur une tentative de harcèlement explicite au sein de la cour de première instance, où elle a affirmé que le procureur adjoint a tenté de l’attirer à son bureau et a envahi une tente d’exploitation provocante pendant la période de son mari, qu’elle a réfléchi à une tentative d’exploitation claire.
Des recherches initiées par la Division nationale de la police judiciaire, commandée par le Bureau national pour lutte contre les crimes liés au crime, qui ont été dévoilés pour des relations suspectes entre M.M. Le plaignant a inclus des séances de vin dans un voile sur la route Imuzar, en présence de connaissances conjointes, y compris le propriétaire d’un magasin de peinture automobile. Des témoins devant la police judiciaire ont confirmé fréquemment la fréquence des parties concernées aux mêmes endroits et ont révélé des pratiques inappropriées reliant le fonctionnaire judiciaire aux cercles loin des exigences de sa position.
Parmi les données dangereuses, le plaignant a revendiqué une tentative de l’empoisonner par M.M., alors qu’ils étaient ensemble dans un restaurant, car il se sentait très nauséeux, suivi d’un grave accident de la circulation qui lui a causé de graves blessures. Bien que le principal témoin, le propriétaire du voile, ait nié sa vision de tout acte direct, il a reconnu l’existence d’une plaisanterie précédente entre les deux parties, qui connaissait des comportements rares, comme placer des sauces dans les boissons.
Les enquêtes ne se sont pas arrêtées là, mais plutôt étendues au suivi d’une activité électronique malveillante contre les anciens juges de la Cour de première instance à Fès, était « M.M. » Contrairement à eux, car la plainte a montré qu’il avait libéré des objectifs malveillants et malveillants contre eux, profitant d’une plate-forme électronique au nom de « Al -Shorouk News 24 », dirigée par un laboratoire à l’étranger précédemment condamné à des affaires liées à l’intelligence.
L’élément de condamnation le plus important, selon ce qui a été révélé par des sources éclairées, est une vidéo de 19 minutes et 7 secondes, présentée par le plaignant à la division nationale, dans laquelle « M.M. » apparaît. Il le supplie, demandant de ne pas aller à la police, dans une scène qu’il considérait comme un guide matériel décisif au cours de l’enquête.
L’opinion publique dans la ville de Fez attend la date de la prochaine session attendue au cours de la troisième semaine de ce mois, au milieu de questions incendiaires sur l’étendue du cercle des personnes impliquées et la capacité d’éliminer la continuation de la révélation de la vérité, dans l’un des cas les plus dangereux qui affectent l’intégrité du magistrature au Morocco. Ce dossier brûlant réaffirme le besoin urgent de consolider la culture de la responsabilité et de la coupe avec la logique de l’impunité, pour défendre le prestige de la justice et la dignité des citoyens.