Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdel -Ati, a déclaré que son pays « ne se soucie pas de déployer des forces internationales pour permettre à l’autorité palestinienne d’exercer sa souveraineté », ajoutant que le Caire est en contacts étendus avec les partenaires et les parties préoccupés par la recherche de « la résumée déraisonnable.
Abdel -Ati a souligné que « la possibilité de parvenir à un accord entrant si la volonté politique est disponible », soulignant que tout règlement doit mettre fin à la guerre, assurer l’entrée de l’aide, la libération des prisonniers et l’ouverture d’un horizon politique pour incarner l’État palestinien.
Ces déclarations ont la lumière de l’escalade des pressions régionales et internationales pour le cessez-le-feu pendant près de deux ans entre Israël et les factions de résistance palestiniennes dans la bande de Gaza, ce qui a entraîné une destruction généralisée et des dizaines de milliers de victimes. Il coïncide également avec les mouvements arabes et internationaux pour discuter des arrangements du « lendemain » de la guerre, au milieu de la variation des positions sur la gestion du secteur, car Israël insiste pour imposer un contrôle de sécurité à long terme, tandis que les partis arabes et internationaux appellent une solution à deux états.