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L’économie du Maroc se rétablit en 2025 malgré les défis

L’économie du Maroc se rétablit en 2025 malgré les défis

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Science électronique – Rabat

Le rapport sur la culture économique publié par le Haut Commissaire à la planification a déclaré que l’économie nationale a poursuivi ses dons ascendant au début de l’année 2025, enregistrant une accélération remarquable dans le rythme de la croissance, grâce à la forte performance des activités agricoles et de la valeur croissante des secteurs secondaires et troisième, en particulier les industries extractives, la construction, le tourisme et les minéraux. Le produit interne brut a enregistré 4,8% au cours du premier semestre, contre 4,2% dans le chapitre précédent, ce qui reflète une amélioration de la consommation et de l’investissement et une baisse du taux de chômage, au milieu d’une dynamique active pour les opportunités d’emploi dans le secteur non agricole. Les frais de consommation familiale ont augmenté de 4,4%, soutenu par l’amélioration des revenus liés aux revenus et l’expansion de l’activité économique, et la consommation publique est renforcée de 5,2%, grâce aux dépenses élevées des biens et services. D’un autre côté, l’investissement a connu une forte reprise de 17,5%, dans laquelle les infrastructures, les champs d’eau et de pourboire ont contribué, tandis que la demande interne a continué de mener une croissance avec une contribution de 8,5 points.

D’un autre côté, le rapport a révélé que la demande extérieure de produits marocains, en particulier des partenaires européens, a connu une baisse, ce qui a réduit sa contribution à la croissance de 3,8 points, en raison du ralentissement des exportations et d’une augmentation significative des importations. Du côté des finances publiques, les revenus de l’État ont connu une reprise remarquable de 21,6%, tandis que les dépenses publiques ont enregistré une croissance plus rapide de la production brute, sans cela entraînant une augmentation significative du besoin de financement externe de l’État, malgré les besoins croissants de la contraction.

Le rapport suggère que le deuxième chapitre a maintenu le même dynamisme, enregistré 4,6%, grâce à la performance continue du secteur des services et des industries extractifs qui a bénéficié de la hausse de la demande mondiale de phosphate, ainsi que de la récupération de l’activité de construction. Le secteur agricole a également contribué à 0,5 points à la croissance, malgré les disparités climatiques qui ont affecté certaines cultures, tandis que le coût des céréales et des légumes s’est amélioré grâce au soutien des investissements dans les zones irriguées. La demande interne a formé le principal moteur de la croissance au cours de cette saison, tandis que la demande externe a continué d’enregistrer une contribution négative de 3,1 à point. D’un autre côté, les pressions inflationnistes ont été clairement diminuées, car l’inflation de base a atteint 1,1%, dans la première baisse sans le seuil de 2% depuis l’année 2021, grâce à la baisse des prix des aliments et de l’énergie, et de la baisse des coûts du transport aérien, par rapport à la stabilité des matériaux fabriqués.

Au niveau de la politique monétaire, les tendances déflationnaires de la Banque du Maroc ont poursuivi leur impact sur les taux d’intérêt, qui ont connu une diminution des divers délais d’emprunt, parallèle à l’augmentation des réserves de drainage et à l’amélioration de la valeur du Dirham contre l’euro et le dollar. Le marché financier a également enregistré une bonne performance, soutenue par la confiance des investisseurs à la lumière de la principale stabilité des taux d’intérêt à 2,25%, alors que l’indice « Mazi » a bondi de 37,6%, et la valeur marchande des actions a augmenté de 38,6%, tirée par l’amélioration des actions des minéraux, de l’immobilier et de la promotion.

Quant au troisième chapitre de 2025, les attentes indiquent la croissance continue à un rythme relativement modéré, dans la fourchette de 4,4%, avec une forte contribution à la demande interne, en échange d’un ralentissement potentiel de la demande extérieure en raison de la fragilité continue des conditions économiques des partenaires européens, en particulier après l’imposition de nouveaux droits de douane aux États-Unis. Le risque le plus important du scénario attendu reste lié aux fluctuations des marchés internationaux et des conditions climatiques qui peuvent affecter négativement la production agricole et animale, tandis que les industries alimentaires et les bas prix du pétrole peuvent réduire ces défis et soutenir la croissance au cours de la période à venir.



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