Les autorités judiciaires de Rabat se sont fermement opposées aux violations croissantes de certains des fabricants de contenu YouTube, où le procureur du roi à la cour de première instance a décidé vendredi soir la créativité du propriétaire de la chaîne « Anna Jet » en détention, après avoir filmé des scènes non autorisées utilisant un « avion Drun » dans le complexe sportif, le prince Moulay Abdullah.
Le YouTube concerné a profité de l'avion pour documenter les travaux de maintenance en cours sous la supervision de la Fédération royale du football marocain, qui a été considérée comme une violation des lois régulant l'utilisation des drones, en plus de violer les contrôles liés à la photographie dans des endroits interdits. Cet incident se présente dans le contexte du resserrement du contrôle du contenu numérique aléatoire, qui envoie un message strict selon lequel les contrôles juridiques devraient être respectueux dans ce domaine.
Selon le journal d'Al-Sabah, le procureur du roi a décidé de suivre les accusations arrêtées liées à «photographier un travail audiovisuel sans permis» et «possession d'un drone sans base légale», pour ordonner qu'il soit réservé à la prison de prison 1, et pour le référer directement à la session de télépace qui s'est tenue vendredi soir le passé, avant que le procès ne soit reporté vendredi prochain, pour permettre à l'installation de la défense.
Après avoir examiné le contenu publié sur la chaîne, la police judiciaire et le procureur ont examiné les diverses photographies et explications fournies, qui peuvent inclure des données inexactes. Il est prévu que la prochaine session d'essai révèle la validité de ces données et si elle inclut une mauvaise intention de fournir à l'opinion publique de fausses informations.
Les enquêtes ont montré que la personne arrêtée, qui avait été amenée de sa résidence à Skhirat, avait précédemment publié un contenu similaire aux réparations du complexe sportif il y a des semaines, avant de réévaluer dans le but de comparer les travaux précédents et actuels. Il a également publié des données non confirmées sur la nouvelle gare du quartier de Riyad, qui a soulevé des questions sur la validité de ces informations.
On s'attend à ce que la Cour de première instance de Rabat commencera vendredi prochain en discutant de l'affaire, après que les poursuites publiques ont confirmé que la personne concernée n'avait obtenu aucune licence du Centre de films marocaine, et qu'il n'y a pas d'autorisation légale d'importer ou d'exploiter L'avion « Drun ».