Dans ce contexte, Ajhabli Aziz, chef du bureau du Syndicat national de la presse marocaine, antenne de Rabat, a indiqué que la première tranche de la majoration, d'un montant de 1.000 dirhams, a déjà été décaissée par certaines institutions médiatiques, mais que la deuxième tranche est toujours en attente. Des solutions et alternatives possibles ont été discutées pour assurer l'achèvement de la mise en œuvre de cet accord social, y compris des mécanismes de suivi pour garantir que les journalistes et les professionnels ont le plein accès à leurs droits.
La réunion a également discuté du projet de convention collective élaboré par le Syndicat national de la presse marocaine, qui vise à améliorer les conditions professionnelles et sociales des travailleurs du secteur des médias. Cependant, le projet attend toujours d'être discuté et approuvé par les parties concernées pour être adopté et activé, ce qui montre l'urgence de renforcer le dialogue social entre les acteurs de la scène médiatique.
Au cours des échanges, Abdelkebir Khchishen, président du Syndicat national de la presse marocaine, a souligné l'importance d'améliorer les conditions sociales et professionnelles des journalistes, car ils constituent l'un des piliers du travail médiatique, avec la nécessité de renforcer le rôle du Syndiquer pour défendre les droits des journalistes et leur garantir un environnement de travail digne et durable.