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Le Syndicat Général des Travailleurs du Maroc correspond avec le Directeur Général de l'Office National des Aéroports


Sciences – Rabat

Le Syndicat National de l'Office National des Aéroports, affilié au Syndicat Général des Travailleurs du Maroc, a adressé une lettre au Directeur Général de l'Office National des Aéroports concernant les déséquilibres et violations liés à l'accord conclu entre l'institution et l'entreprise chargée des suppléments. une assurance maladie au profit des salariés et salariés de l'institution Dans sa lettre, le syndicat a réclamé la création d'une institution d'entreprise sociale, car la création de cette institution permettra de remédier à tous ces déséquilibres.

La lettre du syndicat, dont une copie a été reçue par Al-Alam, comprenait des détails et des données relatifs aux déséquilibres qui ont entaché l'accord, et voici le texte de la lettre :

Dans le cadre de notre suivi de la gestion et de la gestion des services sociaux au sein de notre institution, les membres du Syndicat National des Cadres et Employés de l'Office National des Aéroports, affilié à la bannière de l'Union Générale des Travailleurs du Maroc, regrettent de vous informer, à travers cette correspondance, d'un certain nombre de transgressions et de déséquilibres qui ont été et sont enregistrés dans la mise en œuvre du Deal No. 001/21 Relatif à l’assurance maladie complémentaire au profit des salariés et salariés de l’établissement.

Monsieur le Directeur général, tout d'abord, nous sommes surpris que la Direction du capital humain n'ait pas informé les dirigeants et les employés de l'organisation du contenu de cette transaction, étant donné qu'il s'agit de participants qui paient chaque mois le montant de leur abonnement avec une retenue sur la source, et ils ont donc le droit d'obtenir toutes les informations de nature contractuelle dans la transaction. La dissimulation ou la dissimulation de ces informations peut conduire à une injustice pour les droits des personnes impliquées en tant que partie au contrat et pour la deuxième partie représentée par le propriétaire de la transaction (la compagnie d'assurance et de réassurance) réalisant des bénéfices en retour. Il est également devenu clair que le non-respect par le détenteur de la transaction des exigences contractuelles est ce qui a poussé certains à annuler leur engagement, et si le nombre de retraits augmente, cela précipitera la résiliation automatique de la transaction, si elle tombe en dessous du seuil. de 75,00% du nombre de participants conformément à l'article 8 du contrat conclu..

A cet égard, nous vous informons, Monsieur le Directeur Général, que de nombreuses institutions publient le détail de leurs contrats liés à l'assurance complémentaire maladie en arabe et en français sur leurs sites Internet sous la forme d'une fiche technique sans aucune occultation, respectant ainsi la politique de communication avec leurs dirigeants et leurs utilisateurs, et offrant ainsi une sorte de transparence et de clarté au lieu de dissimulation sur l'information qui est le droit des participants..

Monsieur le Directeur Général, L'article 11 du présent contrat conclu précise en détail les devoirs de notre organisation envers l'entreprise, qui s'engage à en respecter tous les contenus, notamment l'exécution mensuelle d'engagements estimés à plusieurs dizaines de millions de centimes, tandis que l'article 12 du même contrat précise les devoirs de l'entreprise envers la Corporation Nationale des Aéroports. Cependant, l'entreprise ne respecte pas une grande partie du contenu de ce contrat, et donc les droits des dirigeants de l'organisation et de ses utilisateurs en tant que participants..

Parmi ces devoirs qui ne sont pas respectés par l’entreprise, nous incluons, sans s’y limiter :

  • La compagnie d'assurance ne respecte pas le délai d'indemnisation prévu dans les 5 jours à compter du premier jour de dépôt du dossier, car le délai d'indemnisation est bien plus long que cela..
  • Défaut de fournir les cartes de membre au profit des membres, y compris le personnel, les employés et leurs proches ayant droit, afin de les présenter à l'entrée des cliniques privées, comme indiqué au contrat.
  • Défaut d'informer directement les salariés et salariés bénéficiant de l'indemnisation du décompte détaillé de l'indemnisation, qui comprend l'indemnité d'assurance maladie obligatoire et le montant versé par l'entreprise, par courrier électronique, comme convenu.
  • L’absence d’une commission médicale chargée d’examiner les cas médicaux nécessitant une hospitalisation ou un suivi thérapeutique hors du Maroc.
  • Il n’y a pas de représentant de la compagnie d’assurance dans certaines villes où se trouve un aéroport.
  • L’absence de preuves médicales au profit des personnes concernées, y compris le personnel et les usagers.

Monsieur le Directeur Général, si la compagnie d'assurance viole la partie relative au non-respect du délai d'indemnisation stipulé au contrat, qui a été fixé à 5 jours, alors des amendes de retard devront être appliquées, pour chaque jour de retard, égales à (1)% du montant total des services rendus par l'employé à partir du jour ouvrable suivant la durée du contrat. Cependant, malheureusement, la Direction du Capital Humain viole cette procédure et ne pas la mettre en œuvre rend l'entreprise complètement à l'aise avec l'ambiance de rémunération, qui dépasse certainement les limites. conditions stipulées dans le contrat..

Monsieur le Directeur général, les montants déduits des salaires des employés et des employés de l'organisation provenant de la source dans le cadre de ce contrat sont considérés comme élevés par rapport à ceux qui sont déduits pour les employés et les employés d'autres institutions, car des versements plus petits sont déduits des salaires de les employés de ces institutions par rapport à celles prélevées sur les salaires des employés de notre organisation, en outre, ces institutions sont tenues de cotiser une prime qui s'élève parfois à la moitié de ce qui est déduit des salaires de leurs employés, ce qui a rendu obligatoire la cotisation. reconsidérer cette déduction et certaines clauses du contrat comme indiqué dans le contrat conclu avec l’entreprise.

Monsieur le Directeur Général, la rareté et la faiblesse des services sociaux au sein de notre institution qui fournit des travailleurs aéroportuaires nous ont obligés à créer une institution de services sociaux semblable au reste des institutions nationales qui ont fait des progrès importants dans ce domaine et ont pu faire progresser les services fournis à leur personnel et à leurs employés à des niveaux avancés à l'échelle mondiale et non nationale, et que la poursuite de la gestion et de la gestion des services sociaux au sein de notre organisation de la manière actuelle ne peut en aucun cas être suffisante pour résoudre les problèmes dont nous souffrons en tant que gestionnaires et les utilisateurs avec tous ces services fournis, et c'est ce que nous avons démontré plus d'une fois dans plusieurs de nos correspondances.

Par exemple, Monsieur le Directeur Général, lors des dernières vacances d'été, nous avons vu sous nos yeux des enfants d'un groupe d'institutions nationales traverser l'aéroport Mohammed V afin de voyager et bénéficier du camping à l'extérieur du pays. en bénéficient, nous avons constaté que ce sont des enfants. Pour ceux qui appartiennent à des institutions qui ne nous sont supérieures en rien, au contraire, la seule différence est que l'institution d'entreprise sociale dans laquelle sont impliqués leurs parents et tuteurs s'organise. de tels déplacements chaque année, ouvrant ainsi un champ plus large aux enfants de ces travailleurs.

Franchement, cette question nous a beaucoup affligés, alors qu'au sein de notre institution, nous sommes toujours aux prises avec des problèmes et des déséquilibres avec des services fournis uniquement à l'intérieur du pays et non à l'extérieur.

Monsieur le Directeur Général, nous vous confirmons notre adhésion à notre demande relative à la création d'une institution des œuvres sociales, car la création de cette institution est suffisante pour remédier à tous ces déséquilibres et corriger bon nombre des erreurs résultant de la gestion et de l'administration. des services sociaux au sein de l'institution, dont sont victimes les travailleurs de l'aéroport, d'autant plus que le moment est très opportun à l'approche de la date de fixation du budget spécial des services sociaux, maigre et injuste pour les travailleurs par rapport aux autres institutions.

En conclusion de la lettre, le syndicat a demandé au directeur général de l'Office national des aéroports de donner des instructions au directeur du capital humain afin d'inciter l'entreprise à s'engager à respecter les termes du contrat et à reconsidérer ses dispositions pour le bénéfice des travailleurs.



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