Au milieu des complexités du conflit régional sur le Sahara marocain, des développements accélérés ont émergé pour améliorer la position marocaine aux niveaux diplomatique et historique. Le président américain Donald Trump a renouvelé son solide soutien à la souveraineté du Maroc sur ses régions du sud, à un moment où l’Espagne a annoncé une étape sans précédent pour retirer le secret des milliers de documents historiques, y compris les fichiers sensibles liés à son retrait du désert en 1975 et le chemin des négociations qui accompagnit l’événement.
Les déclarations du président Trump, qui a été signalée par l’agence de presse Maghreb, viennent réaffirmer la position américaine fixe, comme il l’a dit dans une lettre adressée au monarque marocain, le roi Mohammed VI:
« La plus récente confirmation est que les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental et soutient une proposition d’auto-érichée marocaine sérieuse, crédible et réaliste, car c’est la seule base pour une solution équitable et permanente à ce conflit. »
Ce poste, que Trump a déclaré au cours de son deuxième mandat actuel, renforce ce qu’il avait fait auparavant à la fin de son premier mandat, lorsqu’il a officiellement reconnu le Sahara marocain dans un triple accord qui comprenait également la normalisation des relations entre le Maroc et Israël dans le cadre de ce que l’on appelait les « accords d’Abraham ». Il semble que l’administration américaine continue de considérer l’initiative marocaine de l’auto-gouvernemental le seul cadre possible pour régler le conflit, malgré le changement des départements et la succession des présidents.
In this context, the American position was not isolated, as other balanced countries such as Britain, which joined last June, joined the United States and France in supporting the Moroccan solution, considering that the autonomy under Moroccan sovereignty is the realistic director of the conflict, at a time when Algeria continues to support the Polisario Front and its refusal to attend the round tables sponsored by the United Nations, adhering to a referendum option Cela ne jouit plus d’un consensus international et c’était jamais.
Mais la dimension diplomatique n’est pas indispensable à la dimension historique, et ici le développement espagnol remarquable, qui peut constituer une transformation décisive du récit associé au conflit. En juillet 2025, le gouvernement espagnol a approuvé un nouveau projet de loi sur les informations secrètes, qui a automatiquement levé la confidentialité de tous les documents de plus de 45 ans. Cela signifie que des milliers de documents liés à la période d’avant 1982 – y compris les fichiers de retrait de l’Espagne du désert et de la marche verte – seront accessibles aux chercheurs et aux historiens.
Les responsables et chercheurs marocains viennent dans cette étape une opportunité historique de révéler les cachés et de confirmer la légitimité marocaine soutenue par des documents irréfutables. Ces archives peuvent permettre, selon les sources des médias espagnols, de voir les scènes de la décision espagnole de se retirer du désert, de pression américaine sur Madrid et de négociations secrètes avec Rabat. Il est également possible de contenir des évaluations espagnoles internes qui reconnaissent implicitement ou explicitement la souveraineté du Maroc avant d’annoncer la reconnaissance officielle en 2022.
Ces documents peuvent également montrer une collusion implicite dans la cachette des faits pendant des décennies, et souligner la duplication du discours espagnol vers la souveraineté marocaine, non seulement sur le Sahara, mais aussi sur le Ceuta et Melilla occupés. Cependant, certains historiens ont mis en garde contre la possibilité de détruire délibérément des parties des archives, en particulier pendant la période de transition qui a suivi la fin de la dictature française, où des milliers de dossiers de sécurité ont été détruits.
À la lumière de ces développements, il apparaît que le Maroc est en train de renforcer sa position non seulement par le biais d’alliances internationales et de soutien politique de grandes puissances, mais aussi en documentant la légitimité de ses demandes de documents historiques absents pendant des décennies. Entre la reconnaissance politique renouvelée de la Maison Blanche et la possible exposition historique de Madrid, le Maroc est aujourd’hui au seuil d’un moment détaillé au cours de la réalisation de son intégrité territoriale.
Alors que les opposants à l’intégrité territoriale du Royaume continuent de répéter les thèses dépassées par la réalité internationale, le temps montre que le cours de l’histoire et de la diplomatie est refusé en faveur du Maroc, armé de légitimité historique, d’initiative et de document.